Quelques jours après le dépôt de sa plainte devant la Cour constitutionnelle contre Joseph Kabila, président de la RDC, l’opposant Moïse Moni Della fait part de ses motivations à Jeune Afrique.
Un responsable sécuritaire tunisien a été arrêté dans la nuit de lundi à mardi pour ses liens présumés avec l’homme d’affaires Chafik Jarraya, récemment interpellé dans le cadre d’un coup de filet anticorruption.
L’arrestation de l’homme d’affaires Chafik Jarraya, dans l’après-midi du 23 mai, a produit un effet de souffle. Il a tétanisé la classe politico-économique tunisienne et marqué le début d’une opération anticorruption d’une ampleur inédite.
Depuis la mort de son frère suite à une interpellation survenue à Persan en juillet 2016, Assa Traoré continue de mener son combat pour la « justice » et la « vérité ». Elle publie aux éditions du Seuil Lettre à Adama. Entretien.
Ouvert vendredi 26 mai à Tunis, le procès de l’attentat de Sousse, perpétré en 2015, a finalement été reporté au 3 octobre, a fait savoir le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis.
Trois jours après avoir échappé à une arrestation, celui qu’on présente comme le chef de la fronde dans le Rif a finalement été interpellé ce lundi, indique l’AFP.
Le procès de l’attentat de Sousse, perpétré en 2015, s’est ouvert vendredi à Tunis. Sur le banc des accusés, une trentaine de personnes, dont des membres des forces de l’ordre accusés de non assistance à personne en danger. Au total, 38 personnes, dont 30 Britanniques, avaient été tuées le 26 juin 2015 dans cet attentat revendiqué par le groupe État islamique (EI).
La cour d’appel de l’État américain de Virginie a confirmé ce 25 mai la suspension du décret migratoire de Donald Trump qui interdisait l’accès aux États-Unis aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane.
Yonatan Tesfaye, ancien porte-parole du « Parti bleu » éthiopien, a été condamné le 25 mai à six ans et demi de prison par un tribunal d’Addis-Abeba pour incitation au terrorisme.
Le 21 octobre 2016 se produisait l’une des plus graves catastrophes de l’histoire du Cameroun. Le président instituait alors une commission d’enquête chargée de faire la lumière sur les responsabilités, dont les conclusions viennent d’être rendues publiques. Mais beaucoup de questions restent sans réponse.
L’opposant Amadou Djibo était jugé en flagrant délit mardi 23 mai pour incitation au complot visant à renverser le régime. Mais aucune décision n’a été prononcée et l’affaire a été mise en délibéré au vendredi 26 mai, alors que la défense a soulevé des défauts dans la procédure.
Après avoir remporté de juteux marchés publics, Guido Santullo est au cœur d’une véritable affaire d’État. Soupçonné, entre autres, d’avoir corrompu de hauts responsables gabonais, ce riche homme d’affaires italien continue de réclamer 350 milliards de F CFA aux autorités.
Ce 23 mai, la justice française a requis 18 mois de prison avec sursis et l’interdiction pour cinq ans de toute activité dans la fonction publique contre l’ancien ambassadeur Boris Boillon, jugé pour avoir transporté clandestinement 350 000 euros et 40 000 dollars d’argent liquide.
Quarante-huit heures après les révélations du New York Times sur une possible implication du député Clément Kanku dans les exactions en cours dans le Kasaï, dans le centre de la RDC, Flory Kabange Numbi, procureur général de la République, a annoncé mardi l’ouverture d’une enquête « pour en savoir un peu plus ».
La justice gambienne a gelé lundi les biens de l’ex-président Yahya Jammeh, soupçonné d’avoir détourné plus de 50 millions de dollars (plus de 44 millions d’euros) avant son départ en exil, selon le ministre de la Justice.
À la suite des révélations de dimanche faisant état d’une possible implication de Clément Kanku dans les exactions en cours au Kasaï, dans le centre de la RDC, un enregistrement sonore accablant circule sur les réseaux sociaux. Contacté, le député incriminé a promis lundi une « réplique »… qui se fait attendre.
Les révélations d’Imed Trabelsi, membre du clan Ben Ali, sur le système de corruption en Tunisie lors de la dixième audience publique de l’Instance vérité et dignité (IVD) le 19 mai, n’en finissent pas de faire réagir, dans le pays comme à l’étranger. Une enquête judiciaire a été ouverte à la suite de son témoignage, ont annoncé lundi les autorités.
Le procès de Boris Boillon, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy devenu ambassadeur de France en Tunisie de 2011 à 2012, s’est ouvert ce lundi 22 mai à Paris. L’ancien diplomate avait été interpellé en juillet 2013 en possession d’une très importante somme d’argent liquide.
L’Instance vérité et dignité (IVD) tient le 19 mai une nouvelle audience publique sur la corruption, alors que la polémique ne cesse d’enfler autour du projet de loi dit de « réconciliation économique ».
L’opposant Amadou Djibo doit être jugé mardi 23 mai pour incitation au complot visant à renverser le régime, selon son avocat. Le leader du Front pour la restauration de la démocratie et la défense de la République (FRDDR) avait été arrêté le 15 mai.
Les autorités congolaise ont renvoyé vers Oslo ce mercredi un ex-soldat de nationalité norvégienne et britannique, incarcéré depuis 2009 en RDC pour des faits d’espionnage et d’homicide, d’après une annonce d’Oslo.
Les autorités ivoiriennes, qui ont toujours refusé d’exécuter le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) en février 2012 à l’encontre de Simone Gbagbo, comptent bien convaincre la CPI d’abandonner totalement sa procédure contre l’ancienne première dame.
Accusée de discrimination par des centaines de salariés d’origine marocaine, la SNCF leur a présenté, mardi 16 mai devant la cour d’appel, son plus profond respect, mais a nié les avoir traités différemment de ses autres employés.
Le rappeur tunisien Weld El 15 a été condamné ce lundi 15 mai à 13 mois et demi de prison ferme pour violences conjugales, menaces de mort, consommation de produits stupéfiants et outrages à agent public par le tribunal correctionnel de Saint-Malo, en France.
Après une saisine du Conseil constitutionnel par la défense, lundi 15 mai, la Haute cour de Justice du Burkina Faso, qui juge 34 ministres du dernier gouvernement de Luc Adolphe Tiao, a suspendu le procès. Tous comparaissent pour leur implication présumée dans la répression de l’insurrection populaire d’octobre 2014.
L’ONG Human Rights Watch (HRW) a dénoncé, dans un rapport publié lundi, des abus sexuels commis selon elle entre 2009 et 2017 sur plusieurs femmes par des militaires ougandais déployés dans l’est de la Centrafrique.
Pour Moïse Katumbi, les ennuis politico-judiciaires se suivent et se ressemblent. Selon une réquisition à expert datant du 25 avril et dont Jeune Afrique a pu consulter jeudi une copie, le dernier gouverneur du Katanga, dans le sud de la RDC, se trouve à nouveau dans le collimateur de l’Agence nationale de renseignement (ANR).
Quatre personnes ont été condamnées par la justice militaire congolaise à des peines allant de cinq ans de prison à la peine de mort pour leur implication dans les massacres de civils perpétrés dans l’est du pays depuis 2014.