L’ancien chef de la garde républicaine ivoirienne est jugé, en même temps que dix autres personnes, pour sa participation présumée à l’enlèvement et au meurtre en 2011 de quatre personnes dans cet hôtel de la capitale ivoirienne. Mercredi au tribunal, il a nié toute implication.
Mariage homosexuel, décret « antimusulmans », droit à l’avortement… les huit juges de la Cour suprême ont entre les mains des textes de lois fondamentaux.
La société Virginika, appartenant à la famille de Moïse Katumbi, a reçu mardi une décision des autorités du Haut-Katanga annonçant la restitution de son véhicule saisi au mois de juillet. Est-ce le début de la fin des ennuis pour l’opposant en exil ?
Après « Donald Trump contre les médias », voici « Donald Trump contre les juges de la Cour suprême ». Dans un cas comme dans l’autre, tous les coups sont permis !
Six membres des forces de sécurité tunisiennes seront jugés pour « non-assistance à personne en danger » dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de juin 2015 à Sousse, au cours duquel 38 touristes étrangers ont été tués.
Une semaine après l’ouverture du procès des « disparus du Novotel », les auditions des dix accusés se sont poursuivies mardi 28 février, cette fois-ci sous le regard de la famille de Stéphane Frantz Di Rippel.
Des peines d’un mois de prison ferme pour « outrage à l’autorité de l’État » ont été prononcées mardi à l’encontre de 69 étudiants tchadiens. Ils sont accusés d’avoir perturbé une visite ministérielle alors que les universités grondent contre la suppression des bourses.
L’ancien ministre de Blaise Compaoré, inculpé dans l’enquête sur la tentative de coup d’État de septembre 2015, a été brièvement admis lundi à la polyclinique internationale de Ouagadougou en raison d’un nouveau malaise cardiaque.
L’ancien proche collaborateur de Ali Tounsi, chef de la police algérienne, a été condamné à mort lundi soir pour le meurtre de ce dernier en 2010, d’après l’agence de presse officielle algérienne APS.
Entamé le 28 janvier 2016, le procès de Laurent Gbagbo et de l’ancien chef des Jeunes patriotes Charles Blé Goudé devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité sera-t-il aussi long que celui du Congolais (RD Congo) Jean-Pierre Bemba, qui avait duré près de six ans ?
L’ancien président tunisien a été de nouveau condamné par contumace ce vendredi à huit ans de prison ferme pour « abus de pouvoir ». Son gendre, Sakhr El-Materi, écope de six ans de prison ferme dans une affaire d’immobilier à Sidi Bou Saïd, en banlieue de Tunis.
Malgré le processus de transition démocratique en cours, entamé il y a six ans, la pratique de la torture perdure en Tunisie. En nette baisse depuis 2015, les abus persistent, notamment dans les prisons et les centres de détention, a indiqué mercredi l’Organisation tunisienne contre la torture (OCTT).
Les ennuis du chanteur marocain avec la justice française ne sont pas finis. Il est une nouvelle fois poursuivi par une Franco-Marocaine qui l’accuse de l’avoir battue et d’avoir abusé d’elle.
Condamné une première fois à six ans de prison pour terrorisme, le Français sera jugé en appel le 1er mars. Sa mère et ses avocats dénoncent un « procès fabriqué de toutes pièces » et mobilisent les médias et les politiques français.
Un mystérieux coup d’État avorté en janvier 2016, 37 personnes mises en cause et de lourdes peines de prison requises… Le procès de putschistes présumés doit s’achever le 1er mars avec l’énoncé du verdict.
La Tunisie vient de se doter d’une loi qui protège les dénonciateurs de la corruption. Chawki Tabib, président de l’Instance nationale de lutte contre le fléau, revient sur ce qu’il considère comme une avancée importante.
Le calendrier judiciaire va s’accélérer au Congo au cours des dix prochains mois. D’ici à juin et juste après la réunion du Conseil supérieur de la magistrature s’ouvriront les sessions criminelles des cours d’appel de Brazzaville et de Pointe-Noire
Les autorités congolaises ont fait volte-face ce mercredi en annonçant enquêter sur « les faits portés à la connaissance du public » après la diffusion d’une vidéo « atroce » mettant en cause des soldats congolais dans un massacre.
Une journaliste soudanaise du quotidien « Al-Tayyar » est accusée d’apostasie par les islamistes après avoir écrit un éditorial sur les réductions des dépenses nationales de santé. Une accusation passible de la peine de mort au Soudan.
Une ligne a-t-elle été franchie ? Poursuivi par la justice française, Lamine Diack est ardemment soutenu par une partie de la classe politique. Et ses fils font bloc derrière lui. Enquête sur un clan en eau trouble.
Le président du Malawi Peter Mutharika a annoncé ce mercredi le limogeage du ministre de l’Agriculture, George Chaponda, soupçonné d’avoir touché des pots de vin dans le cadre d’un contrat d’importation de maïs.
La justice sud-africaine a infligé un camouflet au gouvernement mercredi, en jugeant « invalide et inconstitutionnelle » sa décision de se retirer de la Cour pénale internationale (CPI).
Yankuba Badjie, qui dirigeait en Gambie la très redoutée Agence nationale du renseignement (NIA), a été arrêté lundi, d’après une source policière à Banjul.
Ils étaient nombreux à craindre un nouveau report dans la salle d’audience du tribunal de Yopougon, où s’est finalement ouvert mardi 21 février le procès « des disparus du Novotel ».
Alors que le procès de Simone Gbagbo doit reprendre ce mardi 21 février, celui des « disparus du Novotel », autre procès emblématique de la crise post-électorale ivoirienne, doit également s’ouvrir dans la matinée après avoir été reporté fin janvier.
Le deuxième procès de l’ancienne Première dame ivoirienne reprend mardi 21 février à Abidjan, après un mois et demi d’interruption. Une reprise qui devrait avoir lieu sans Simone Gbagbo ni sa première équipe d’avocats, toujours décidés à ne plus participer au procès. Jeune Afrique fait le point en quatre questions-réponses sur cette procédure judiciaire mouvementée.
Un Code des libertés individuelles : cette proposition constitue, avec l’abrogation de la fameuse loi 52, la mesure-phare révélée dimanche 19 février par le président tunisien Béji Caïd Essebsi au cours de son interview télévisée sur la chaîne Nessma.
Libérés le 3 février, après plus d’un mois et demi d’incarcération, Frédéric Boyenga et Pablo Diumbu Ndjeka vont maintenant être entendus par la justice française.