Des sources judiciaires ont indiqué lundi que la cour d’appel de Paris a confirmé le placement en détention provisoire du chanteur de pop Saad Lamjarred, mis en examen fin octobre en France pour « viol aggravé ».
Alors que deux collectifs d’avocats ont enclenché des procédures visant notamment Camrail et le groupe Bolloré suite à la catastrophe d’Eseka, la société ferroviaire a fait savoir lundi qu’elle veillerait à l’indemnisation rapide et personnalisée des victimes.
Se retirer des accords. Voilà le paradigme politique qui semble à l’ordre du jour. Ce qui est, il faut le dire, de la faute des Britanniques qui, avec la victoire du « leave » à leur référendum, ont ouvert le bal des abandons.
Un collectif d’avocats camerounais, représentant des victimes de l’accident ferroviaire d’Eseka, qui a fait 79 morts le 21 octobre dernier, a déposé une demande d’ouverture d’enquête judiciaire en France. Celle-ci, envoyée le 24 octobre, a été reçue trois jours plus tard par le Tribunal de grande instance (TGI) de Paris.
Des échanges entre juges de la Cour constitutionnelle de la RD Congo ont fuité ces derniers jours sur les réseaux sociaux, notamment une demande d’explication adressée fin octobre par le président de l’institution à certains de ses collègues. Visiblement, ces derniers n’ont pas du tout apprécié.
L’homme d’affaires béninois Sébastien Ajavon comparaissait vendredi devant la chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Cotonou. Il avait été interpellé le 28 octobre après la découverte de 18 kilos de cocaïne dans un conteneur destiné à sa société, selon les affirmations de la police.
Un collectif de familles des victimes de la catastrophe ferroviaire d’Eseka a déposé plainte mercredi devant la justice camerounaise contre le groupe Bolloré, principal actionnaire de la société Camrail. Survenu le 21 octobre dernier, le déraillement d’un train à Esaka a fait au moins 79 morts.
Après le Burundi, l’Afrique du Sud et la Gambie, le Congo sera-t-il le prochain État africain à quitter la Cour pénale internationale (CPI) ? C’est ce qu’ont réclamé jeudi lors d’une manifestation les membres du Front patriotique (FP) et du Mouvement réveil (MR2020), deux formations de la majorité.
Une marche est encore prévue ce vendredi dans la ville d’El Hoceima, pour demander la vérité sur la mort du vendeur de poisson. Mais on est loin de la mobilisation des premiers jours. Dans les autres villes du Maroc, le calme est revenu.
Déjà visé par une enquête aux États-Unis et en France, le fils du président de la République de Guinée équatoriale fait désormais également l’objet d’une procédure en Suisse pour blanchiment d’argent.
La Cour pénale internationale est au cœur de l’actualité politico juridique ces derniers jours en raison d’une vague de volontés de retraits de la CPI manifestées par certains États africains (le Burundi, l’Afrique du Sud et la Gambie), parties audit traité.
Nouvelle affaire de moeurs dans le royaume. Deux adolescentes ont été arrêtées pour homosexualité à Marrakech. Directement mises en prison, elles ont été libérées jeudi à la veille de leur procès.
Mercredi soir, 24 personnes avaient été arrêtées et placées en détention à Madaoua, après des affrontements meurtriers entre éleveurs peuls et agriculteurs haoussas dans le village de Bangui, au Niger, le 1er novembre.
Le patron des patrons béninois, Sébastien Ajavon, a passé ce mercredi une sixième nuit en détention à la gendarmerie de Cotonou. L’homme d’affaires a été arrêté vendredi après la découverte de 18 kilos de cocaïne dans un conteneur destiné à sa société, selon la police.
Ce document, qui devait être initialement publié le 14 octobre, porte principalement sur des soupçons d’influence de la sulfureuse famille d’hommes d’affaires indienne – les Gupta – sur le président sud-africain, au point de lui imposer la nomination de certains ministres pour favoriser leurs intérêts, ou d’user de leur influence pour décrocher des contrats gouvernementaux.
Le procès de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire pour crimes contre l’humanité a une nouvelle fois été suspendu mercredi 2 novembre car les personnalités ivoiriennes que la défense veut faire entendre n’avaient pas été convoquées. Il devra reprendre lundi 7 novembre.
Onze personnes ont été présentées à un juge d’instruction au Maroc dans l’affaire de la mort vendredi d’un vendeur de poisson, écrasé accidentellement dans une benne ordure, qui a suscité une vive émotion dans le pays, a indiqué lundi la justice.
La France demande aux trois pays qui ont annoncé leur décision de se retirer de la Cour pénale internationale (CPI), qu’ils accusent de cibler essentiellement des pays africains, de « reconsidérer » leur décision, a fait savoir lundi le ministère français des Affaires étrangères.
Le roi du Maroc intervient dans l’affaire du chanteur marocain Saâd Lamjarred, mis en examen et écroué par la justice française pour viol aggravé. Ce lundi, Mohammed VI a mis à la disposition de l’inculpé son avocat, Maître Éric Dupond Moretti. L’affaire se politise.
L’homme d’affaires et ancien candidat à l’élection présidentielle Sébastien Ajavon a été interpellé vendredi après que de la cocaïne a été retrouvée dans un conteneur destiné à sa société, la Cajaf-Comon. Il était toujours détenu par la gendarmerie ce lundi dans la matinée, selon l’un de ses avocats.
Des marches spontanées et désorganisées ont eu lieu ce lundi dans cette ville du nord du Maroc endeuillée par le décès d’un vendeur de poisson. Cinq personnes ont été placées en garde à vue afin de dissiper les zones d’ombre planant encore sur cette mort tragique.
La justice sud-africaine a abandonné les poursuites pour fraude engagées il y a trois semaines contre le ministre des Finances Pravin Gordhan, a annoncé lundi le procureur général. Cette affaire est à l’origine de vives tensions politiques au sein du gouvernement.
Le 29 octobre 1965 était enlevé à Paris le leader de la gauche marocaine Mehdi Ben Barka. Dès lors, on ne le reverra plus jamais, son corps n’ayant jamais été retrouvé. Retour, 56 ans après les faits, sur “l’affaire Ben Barka”, qui reste non élucidée par la justice.
Le chanteur de pop marocain Saad Lamjarred a été mis en examen vendredi soir à Paris notamment pour « viol aggravé » et placé en détention provisoire, a-t-on appris de source judiciaire.
L’ancien chef de la Marine bissau-guinéenne Bubo Na Tchuto, récemment libéré après avoir passé plus de trois ans en prison aux Etats-Unis pour trafic de drogue, a demandé au président José Mario Vaz sa réintégration dans les forces armées.
Le Burundi a notifié formellement aux Nations unies sa décision de se retirer de la Cour pénale internationale (CPI), conformément à la loi adoptée par le Parlement burundais le mercredi 12 octobre dernier et promulguée six jours plus tard par le président Nkurunziza .
La pop star a été arrêtée mercredi à Paris à la suite d’une plainte déposée par une jeune femme pour séquestration et viol. Saâd Lamjarred devrait rester en garde à vue jusqu’à vendredi avant d’être déféré devant le parquet.
Plusieurs médias, tunisiens et étrangers, évoquaient mardi l’arrestation de deux Américains à Jendouba, soupçonnés d’avoir planifié des attaques terroristes et prôné l’application de la Charia en Tunisie. Une information démentie depuis par les autorités locales, qui les ont simplement entendus, l’enquête préliminaire de la police ayant révélé que les deux individus n’avaient aucun lien avec des organisations terroristes.
Attendu au cabinet des avocats de Commisimpex à Washington mercredi pour témoigner, Calixte Ganongo, ministre congolais des Finances, n’a pas fait le déplacement. C’est le nouvel épisode d’un feuilleton judiciaire interminable entre Brazzaville et la société de Mohsen Hojeij.