C’est « un jour historique pour la planète » selon le Président François Hollande : le tout premier accord engageant le monde entier contre le réchauffement doit entrer symboliquement en vigueur ce vendredi, moins d’un an après son adoption.
Un peu partout dans le monde, l’utilisation des drones explose et les autorités sont parfois amenées à durcir leur législation par mesure de sécurité. Mais qu’en est-il en Tunisie, ou le sujet a déclenché de nombreuses polémiques ?
Mercredi soir, 24 personnes avaient été arrêtées et placées en détention à Madaoua, après des affrontements meurtriers entre éleveurs peuls et agriculteurs haoussas dans le village de Bangui, au Niger, le 1er novembre.
Le Kenya a annoncé mercredi le retrait de ses troupes au sein de la Minuss après le limogeage du commandant kényan des Casques bleus dans ce pays, accablés par un rapport onusien pour leur réaction « chaotique et inefficace » aux violences de juillet à Djouba.
Pour Bakary Sambe, directeur de l’Observatoire des radicalismes et des conflits religieux en Afrique, une chose est sûre : « On n’a jamais vaincu une idéologie avec un code pénal ou une kalachnikov. » Jeune Afrique s’est entretenue avec lui en marge d’une conférence sur la lutte contre la radicalisation des jeunes sur internet, qui se tenait à Québec (Canada) en début de semaine.
Au moins trois responsables politiques du parti au pouvoir et de l’opposition ont été tués au Mozambique en moins d’une semaine, a annoncé mardi la police, au moment où les pourparlers de paix entre gouvernement et opposition sont suspendus.
En déplacement à Bangui lundi, le ministre français de la Défense, Jean-Yves le Drian, a entériné la fin officielle de l’opération militaire Sangaris. Reportage.
Des marches spontanées et désorganisées ont eu lieu ce lundi dans cette ville du nord du Maroc endeuillée par le décès d’un vendeur de poisson. Cinq personnes ont été placées en garde à vue afin de dissiper les zones d’ombre planant encore sur cette mort tragique.
Quatre soldats égyptiens ont été tués dans la péninsule du Sinaï, où la branche locale du groupe jihadiste État islamique (EI) mène une insurrection, a indiqué ce dimanche le porte-parole de l’armée sur sa page Facebook.
Il s’appelait Mouhcine Fikri. Vendredi, son corps a été broyé par une benne à ordures, dans des circonstances non élucidées. Depuis, sa mort a jeté des milliers de Marocains dans les rues. Les autorités essaient de calmer la tension.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est attendu dimanche soir à Bangui pour acter la fin de l’opération Sangaris qui aura mis fin aux tueries de masse en Centrafrique, sans parvenir à neutraliser les bandes armées qui terrorisent la population.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est arrivé dimanche soir à Bangui pour officialiser la fin de l’opération Sangaris, malgré les regains de violences.
Au moins « 9 personnes ont été tuées et 24 blessées » par deux kamikazes qui se sont fait exploser samedi à Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria, région en proie à l’insurrection des jihadistes de Boko Haram, ont annoncé samedi les services de secours nigérians sur leur compte Twitter.
Au moins 25 personnes, dont six gendarmes, ont été tuées jeudi et vendredi en Centrafrique, lors de violences déclenchées par des groupes armés dans la ville de Bambari (250 km au nord-est de Bangui) et ses environs, selon la force de l’Onu en Centrafrique (Minusca).
Lors du discours d’hommage aux victimes de l’attentat de Nice, le Président français, François Hollande, a salué la mémoire de ceux qui sont morts pour que nous soyons vivants et libres. Or cette analyse, aussi belle soit-elle, ne peut être que contredite par les mesures politiques qui ont suivi les différents attentats en France.
L’opération militaire française en Centrafrique, Sangaris, prend fin officiellement ce dimanche, avec le déplacement à Bangui du ministre de la Défense Jean-Yves le Drian. Dans la capitale centrafricaine, ils sont nombreux à craindre les conséquences de ce départ.
Le forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) a annoncé mercredi la création du Centre tunisien de recherches et d’études sur le terrorisme (CTRET) et en a profité pour délivrer les résultats de ses premiers travaux.
Quatre mois après sa création, l’Alliance nationale pour la sauvegarde de l’identité peule et la restauration de la justice (ANSIP-RJ), un mouvement politico-militaire dont l’objectif est de « mettre fin aux exactions contre les Peuls » au Mali, est déchirée entre ses deux leaders.
Plusieurs médias, tunisiens et étrangers, évoquaient mardi l’arrestation de deux Américains à Jendouba, soupçonnés d’avoir planifié des attaques terroristes et prôné l’application de la Charia en Tunisie. Une information démentie depuis par les autorités locales, qui les ont simplement entendus, l’enquête préliminaire de la police ayant révélé que les deux individus n’avaient aucun lien avec des organisations terroristes.
Plusieurs dizaines de jihadistes somaliens se réclamant de l’État Islamique (EI) ont pris le contrôle mercredi matin de Qandala, petite localité portuaire du Puntland, en Somalie. C’est la première fois que l’EI revendique la prise de contrôle d’une localité dans le pays.
Les pourparlers de paix sont toujours au point mort au Mozambique. Ce mercredi, le chef de la Renamo, principal parti d’opposition, Afonso Dhlakama, a dénoncé ce qu’il estime être des manœuvres du parti au pouvoir visant à faire échouer les discussions en cours.
Activement recherché, cet ex-sous-officier de l’ex-Régiment de sécurité présidentielle (RSP) proche de François Compaoré est accusé d’être l’instigateur d’une récente tentative de déstabilisation contre les autorités burkinabè.
Les organisateurs du 3e Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique (5-6 décembre, à Dakar) reçoivent les premières réponses à leurs invitations.
Le groupe rebelle des Vengeurs du Delta du Niger (NDA) a revendiqué mardi la destruction d’un oléoduc de la compagnie américaine Chevron dans le sud du pays, qui concentre l’industrie du pétrole.
Chez les 60 000 réfugiés maliens vivant au Niger, près de la frontière avec leur pays, la peur s’est installée ces dernières semaines. « Rentrer au Mali ou rester au Niger ? Dans les deux cas la mort peut être au rendez-vous », juge Alhousseïni Mahamadou, un réfugié du camp de Tazalit, attaqué le 6 octobre dernier.
Au moins douze personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi lors d’une attaque à l’explosif à Mandera, dans l’extrême nord-est du Kenya. Une maison d’hôtes a été visée.
Quatre civils ont été tués et 14 personnes blessées, dont cinq Casques bleus ce lundi à Bangui. Un collectif de la société civile avait appelé à une journée « ville morte » pour demander le retrait de la Minusca de Centrafrique.
La situation était particulièrement tendue lundi matin à Bangui où une journée ville morte était organisée pour réclamer le départ de la Minusca. Explications.
Un jihadiste présumé, qui tentait avec des complices de recruter des jeunes à Kilwin, une banlieue de Ouagadougou, pour les former dans le nord du Burkina ou à l’extérieur du pays, a été abattu dans la nuit de samedi à dimanche, selon la police.
Début octobre, une attaque jihadiste contre le camp de réfugiés maliens de Tazalit avait fait 22 morts dans les rangs de l’armée. Un traumatisme qui a poussé jeudi Mohamed Bazoum, le ministre nigérien de l’Intérieur, à souligner des « défaillances » dans le dispositif militaire.