Six personnes ont été tuées par des assaillants non identifiés dans une région de l’est de la République démocratique du Congo, en proie à des troubles, a-t-on appris samedi de source locale.
La police allemande tentait dimanche de lever les zones d’ombre sur les motivations de l’auteur de la fusillade de Munich, un jeune psychologiquement fragile, fasciné par les tueries de masse, qui, selon des informations de presse, aurait voulu se venger d’un harcèlement à l’école.
La tension est montée de plusieurs crans à Libreville, où les forces de l’ordre ont chargé une marche de l’opposition samedi. Deux journalistes dont un de l’Agence France-Presse ont violemment été molestés par les forces de l’ordre.
La fusillade ayant ensanglanté Munich vendredi soir a été perpétrée par un jeune forcené souffrant de problèmes psychiatriques, sans rapport avec le jihadisme, qui a voulu « faire un lien » avec le massacre commis il y a cinq ans en Norvège par Anders Behring Breivik.
L’avion d’EgyptAir qui s’est abîmé en Méditerranée en mai dernier s’est probablement désintégré en plein vol après un incendie dans le cockpit ou près du cockpit, a rapporté vendredi le New York Times.
Neuf personnes ont été tuées et 16 autres blessées vendredi soir lors de la fusillade survenue dans un centre commercial de Munich (sud de l’Allemagne), selon un bilan encore provisoire, auquel s’ajoute le décès de l’auteur de la tuerie. Rien n’a filtré sur ses motivations.
Les ex-rebelles de la CMA et leurs rivaux pro-Bamako du Gatia s’affrontent violemment depuis jeudi à Kidal. Les combats ont repris vendredi matin, à 5h, et ont fait plusieurs morts.
Cinq suspects ont été mis en examen jeudi soir dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Nice. Inconnus des services de renseignement, ils étaient en contact avec l’auteur du massacre.
De violents combats ont eu lieu jeudi à Kidal entre des partisans de la CMA, anciennement rebelle, et ceux de la Plateforme, dont des membres du Gatia. Les deux groupes cohabitaient sans heurts et cogéraient cette ville de l’extrême nord du Mali depuis février dernier.
Le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, auteur de l’attentat de Nice le 14 juillet, a bénéficié de soutiens et de complicités, et semble avoir projeté son acte il y a plusieurs mois, a annoncé, jeudi 21 juillet, le procureur chargé de l’enquête, François Molins.
Aba Brahima Ba, le maire de Nampala, a répondu aux questions de Jeune Afrique après l’attaque meurtrière d’un groupe d’hommes armés qui a coûté la vie à 17 soldats maliens dans sa ville, le 19 juillet. Il affirme notamment que les assaillants sont revenus à deux reprises à Nampala et qu’aucun militaire n’est présent sur place malgré l’annonce de renforts par les autorités.
Le Mali a décrété trois jours de deuil national et réinstauré l’état d’urgence à compter de jeudi suite à l’attaque d’un camp militaire à Nampala (centre) dans laquelle 17 soldats ont été tués, selon un communiqué adressé mercredi soir. Une attaque qui avait été revendiquée par deux groupes armés, l’un peul et l’autre jihadiste.
Des violences ont éclaté dans la nuit de mardi à mercredi, dans le département du Val-d’Oise, après la mort d’un homme d’une vingtaine d’années au moment de son interpellation par les gendarmes. Ses proches réclament des réponses.
Mercredi, la mort de trois sous-officiers français en mission en Libye a forcé Paris à communiquer sur sa présence militaire dans le pays. Bien que les puissances étrangères se gardent de communiquer sur le sujet, des forces spéciales de tous horizons évoluent sur le terrain.
« Même au Darfour, je n’ai jamais vu ça », explique Jean-Hervé Bradol, coordonnateur d’urgence pour Médecins sans frontière, qui revient d’une mission de douze jours dans le Borno, au Nigeria. Une région où l’armée nigériane a repris des zones entières à Boko Haram, mais où l’aide humanitaire commence à peine à arriver. Interview.
Dans un rapport publié mercredi, Human Rights Watch accuse les forces de sécurité kényanes d’exactions et d’enlèvement dans le nord-est du Kenya dans le cadre de la lutte contre les Shebab.
Les proches des Hongkongais victimes de l’attentat à la hache survenu le 18 juillet dernier en Allemagne, le premier revendiqué par l’EI dans ce pays, ont raconté le déroulé de l’attaque dans la presse locale.
Des hommes armés ont attaqué mardi le principal camp militaire de Nampala, à 500 km au nord-est de Bamako. L’Alliance nationale pour la sauvegarde de l’identité peule et la restauration de la justice (ANSIPRJ) affirme avoir tué plusieurs soldats.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a annoncé mardi la prolongation de deux mois de l’état d’urgence instauré en novembre 2015 à Tunis dans la foulée d’un attentat-suicide contre la garde présidentielle.
De nouveaux affrontements ont eu lieu lundi sur le campus de l’université Houphouët d’Abidjan entre étudiants et forces de l’ordre. Bilan : de nombreux blessés et une trentaine d’arrestations.
Boubacar Sawadogo, un des cadres d’Ansar Eddine sud qui avait pour mission d’implanter une filiale au Burkina, a été arrêté au Mali. Détenu à Bamako, il pourrait être prochainement extradé vers Ouagadougou.
Un jeune réfugié afghan de 17 ans a blessé quatre personnes lundi soir en les attaquant à la hache et au couteau dans un train régional allemand. L’organisation terroriste État islamique a indiqué qu’il s’agissait d’un de ses combattants.
Gavin Long, ancien marine américain et militant noir qui a abattu dimanche trois policiers à Bâton-Rouge, en Louisiane, cherchait à tuer des policiers, selon le chef de la police de cet État du sud-est des États-Unis.
Les chefs d’État africains réunis au 27e sommet de l’Union africaine (UA) à Kigali se sont prononcés lundi en faveur de l’envoi d’une « force régionale de protection » au Soudan du Sud avec un mandat plus robuste que l’actuelle mission des Nations unies sur place.
Au fur et à mesure que l’enquête progresse, la personnalité complexe du tueur de Nice se précise. Les premiers éléments mettent en évidence « un intérêt certain mais récent pour la mouvance islamiste ».
Le dossier du général Ag Gamou ne semble pas perçu de la même manière par le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, et par certains hauts-gradés. Une mésentente qui a récemment causé le limogeage du chef d’état-major des armées. Explications.
Le chef de l’État a évoqué dimanche la possible réintroduction de la peine de mort après l’échec de la tentative de putsch dans la nuit de vendredi à samedi. De son côté, la communauté internationale s’inquiète et réclame le respect de l’État de droit.
Quatre jours après l’attaque terroriste qui a fait 84 morts dans la soirée du 14 juillet, les investigations se poursuivent sur le tueur de Nice, dont le profil demeure flou.