Dix jours après la fusillade contre des policiers lors d’un rassemblement antiraciste à Dallas, trois policiers ont été abattus dimanche, à Bâton-Rouge, où la mort d’un Africain-Américain lors de son arrestation avait ravivé les tensions raciales aux États-Unis.
Le feu d’artifice du 14-Juillet à Nice vient de se terminer. Un appel radio signale qu’un camion a percuté des passants. La foule court « dans tous les sens », des corps gisent au sol. Voici l’intervention des forces de l’ordre racontée par un des trois policiers de la Brigade spécialisée de terrain, qui ont abattu le tueur.
Le mot « feu » a été capté par un enregistreur de vol de l’appareil EgyptAir avant que celui-ci s’abîme en Méditerranée en mai, a annoncé samedi une commission d’enquête dirigée par l’Égypte.
L’armée a repris des zones entières à Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, rouvrant des axes stratégiques jusqu’ici tenus par le groupe islamiste, mais les habitants savent que les rebelles, repliés sur les îles du lac Tchad, sont loin d’être vaincus.
Le procureur de la République, François Molins, a confirmé l’identité du chauffeur de camion auteur de l’attaque terroriste qui a fait au moins 84 morts à Nice dans la soirée du 14 juillet, lors d’une conférence de presse vendredi à 17 heures. Il a également livré les derniers éléments d’enquête.
Le chauffeur qui a foncé dans la foule jeudi 14 juillet à Nice a été formellement identifié selon des sources policières citées par l’AFP. Il s’agit bien du propriétaire des papiers d’identité retrouvés à bord du véhicule.
Le couple exécutif s’est rendu vendredi, à la mi-journée, à Nice, frappée la veille dans la soirée par une attaque terroriste qui a fait au moins 84 morts. Des dizaines de blessés sont à déplorer et « une cinquantaine de personnes (sont) entre la vie et la mort », selon François Hollande.
Un convoi militaire ougandais lourdement armé a pénétré jeudi en territoire sud-soudanais pour évacuer les Ougandais bloqués à Juba, alors que l’ONU craint une possible reprise des combats dans la capitale et leur propagation au reste du pays.
En séjour à Washington où il a pris part mercredi à une table ronde organisée au siège du think tank Atlantic Council (AC), l’opposant Moïse Katumbi a rencontré Darryl Lewis, l’ex-marine arrêté puis relâché par les autorités congolaises dans le cadre d’une affaire de recrutement présumé de mercenaires.
Le Comité du patrimoine mondial, réuni depuis le 10 juillet à Ankara, a pris cette décision à cause de l’insécurité dans la région qui ne permet pas d’assurer la protection de la cité antique.
Selon des sources concordantes, Hafsa Mossi, figure modérée du CNDD-FDD, parti au pouvoir au Burundi, a été tuée mercredi à Gihosha, dans le nord-est de Bujumbura. Elle était députée au sein de l’Assemblée législative de l’Afrique de l’Est (EALA).
Les armes étaient visibles mais silencieuses mercredi dans la capitale sud-soudanaise où un cessez-le-feu a été décrété lundi soir, après quatre jours de combats. Les ressortissants étrangers commencent à être évacués. Alors que l’ONU de dit très inquiète d’une possible reprise des combats, le président Salva Kiir a décrété l’amnistie pour les ex-rebelles qui ont pris les armes contre le gouvernement d’union.
Bien que le cessez-le-feu décrété lundi par le président de la République et son rival Riek Machar ait été respecté mardi dans la capitale, après quatre jours de violents combats les tensions persistent entre les deux camps.
Deux personnes ont trouvé la mort dans la nuit de lundi à mardi au cours d’une attaque attribuée aux islamistes nigérians du groupe Boko Haram dans une localité située près du Nigeria.
La délégation de Bujumbura a boudé mardi la cérémonie officielle marquant la reprise des pourparlers interburundais à Arusha, en Tanzanie. Elle reproche à la médiation d’avoir invité des putschistes à dialoguer.
L’ONU tire la sonnette d’alarme et réclame ce mardi 200 millions d’euros pour « maintenir les gens en vie ». Au moins 188 personnes seraient déjà mortes.
Le pasteur Evan Mawarire, l’instigateur de la campagne « This Flag » sur les réseaux sociaux et l’un des leaders du mouvement de contestation sociale qui gronde au Zimbabwe, a été arrêté mardi par la police après avoir appelé à la poursuite des manifestations, a affirmé son avocat à l’AFP.
Face à la flambée de violence qui touche la capitale, le président de la République a demandé à ses troupes de cesser le combat. Son rival Riek Machar en a fait de même. De son côté, le secrétaire général de l’ONU réclame un embargo sur les armes ainsi que des sanctions.
Les affrontements entre les forces loyales et les ex-rebelles se poursuivent ce lundi matin à Juba. Alors que les violences ont fait au moins 270 morts, l’ONU réclame l’aide des pays de la région.
Le tireur de Dallas, Micah Johnson, détenait un véritable arsenal de guerre à son domicile et préparait notamment une attaque à la bombe dévastatrice, a-t-on appris auprès de la police dimanche.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a sollicité dimanche l’aide des pays de la région, leur demandant des Casques bleus supplémentaires, pour mettre fin aux combats au Soudan du Sud qui font fuir des milliers d’habitants de la capitale Juba.
Le groupe Etat islamique (EI) a perdu 12% du territoire qu’il contrôle en Irak et en Syrie au cours des six premiers mois de 2016, selon une analyse du cabinet britannique spécialisé IHS Jane’s publiée dimanche.
Au moins 29 rebelles syriens ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche lors de combats avec les troupes du régime pour le contrôle d’un axe stratégique de la ville d’Alep (nord), a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
La tuerie de Dallas, dans laquelle cinq policiers ont été tués et sept autres blessés, semble avoir été le fait d’un seul tireur, sans lien terroriste. C’est la plus meurtrière pour les forces de l’ordre américaines depuis le 11-Septembre. Voici un résumé de ce que l’on sait.
Une nouvelle fois, rien ne va plus à Kidal où la CMA et le Gatia s’opposent au sujet de l’application de l’accord de paix. Une réunion de médiation doit avoir lieu à Niamey à partir de lundi. Explications.
Selon les autorités, c’est ce qu’a confié l’homme aux négociateurs lorsqu’il était retranché dans un bâtiment de la ville. Le chef de la police locale affirme néanmoins qu’il n’était affilié à aucun groupuscule.