Le secrétaire d’État américain est attendu « dans les prochains jours », alors que le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, se rend ce 1er février en Égypte pour discuter d’une proposition de trêve en « trois phases ».
Alors que le conflit avec le Hamas entame son 114e jour, les États-Unis, l’Égypte et le Qatar s’emploient à négocier un projet d’accord qui impliquerait une trêve de deux mois et la libération de tous les otages, ainsi que celle de prisonniers palestiniens en Israël.
Israël a dit « examiner » les opérations en cours pour déterminer l’origine des tirs contre le bâtiment, qui ont fait, le 24 janvier, au moins « neuf morts et 75 blessés », selon l’agence onusienne en charge des réfugiés palestiniens.
Américains et Britanniques ont à nouveau bombardé des cibles houthies en représailles aux attaques menées contre les navires en mer Rouge. Les rebelles yéménites assurent que ces frappes ne font qu’accroître leur détermination.
Cinq membres de la marine nationale ont disparu en mer, le 5 janvier, lors de l’arraisonnement d’un navire soupçonné de transporter de la drogue. L’espoir de les retrouver est ténu.
L’armée israélienne dit concentrer désormais ses opérations sur Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Depuis le début du conflit, près de 24 000 Palestiniens ont été tués, en majorité des civils, selon le Hamas, qui détiendrait toujours 132 otages.
La crainte d’un embrasement régional du conflit, notamment au Liban, inquiète le secrétaire d’État américain, qui arrivera dans la soirée à Tel Aviv. Il a aussi mis en garde Israël face à la situation extrêmement grave des civils dans la bande de Gaza.
L’organisation libanaise a dit avoir tiré « 62 missiles » sur la base militaire israélienne de Meron. Tsahal a dit avoir frappé en réponse une cellule responsable de certains de ces tirs. En visite au Liban, le chef de la diplomatie européenne, Josep Borell, a déclaré que le Liban ne devrait pas être « entraîné dans un conflit régional ».
Dans leur rapport rendu public le 3 janvier, les experts onusiens reviennent en détail sur la crise dans l’Est congolais. Réaffirmant que le Rwanda soutient les rebelles du M23, ils évoquent aussi la coopération entre les armées congolaise et burundaise et l’appui logistique des FARDC aux groupes armés.
Alors que le conflit a déjà fait près de 22 000 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du Hamas, Tsahal « sera sollicité pour des tâches et des combats supplémentaires », a prévenu le porte-parole de l’armée israélienne.
La professionnalisation de l’armée a plus de chance de réussir si elle procède d’un ensemble de réformes axées sur une stratégie de maintien des militaires dans les casernes et, dans le même temps, d’une mobilisation sociale en faveur de la démocratie.
Des groupes armés ont attaqué une vingtaine de villages dans l’État du Plateau. Bola Tinubu, le chef de l’État, a fait de la lutte contre l’insécurité l’une des priorités de son mandat.
Un missile israélien s’est abattu le 18 décembre à moins de 40 mètres du lieu des funérailles d’un combattant du Hezbollah qui se tenaient dans un village frontalier, sans faire de victime.
L’accident, survenu le 18 décembre dans le plus gros dépôt d’hydrocarbures de Conakry, a fait au moins 190 blessés et 14 morts. Le chef de la junte a appelé à la « solidarité ».
La communauté internationale s’alarme du bilan humain de plus en plus lourd dans la guerre que livre Israël au Hamas. Depuis le début du conflit, plusieurs hôpitaux ont été bombardés ou attaqués.
La trêve de 72 heures, annoncée le 11 décembre par Washington, semble se poursuivre pour le moment. Alors que les combats entre le mouvement rebelle et l’armée congolaise se rapprochaient de Goma ces derniers jours, les discussions se sont intensifiées en coulisses pour tenter de faire baisser la tension.
L’armée israélienne continue d’avancer dans le sud de la bande de Gaza, où elle « reprend [l]es derniers bastions » de l’organisation palestinienne. Près de 85 % de la population locale a été déplacée à la suite des affrontements et des bombardements israéliens.
Poussée vers la sortie par Kinshasa, la mission onusienne vit probablement son dernier processus électoral en RDC. Le Conseil de sécurité de l’ONU doit se pencher, le 11 décembre, sur le plan de désengagement qu’elle a signé avec le gouvernement et que Jeune Afrique a pu consulter.
Au pouvoir de 2007 à 2018, Ernest Bai Koroma doit se rendre au siège du département des investigations criminelle « pour assister la police dans l’enquête en cours » sur les évènements du 26 novembre, affirme un communiqué signé par le ministre de l’Information.
Après avoir détruit le nord de Gaza, l’armée israélienne frappe désormais le Sud, vers lequel Tsahal avait conseillé aux Palestiniens de se déplacer pour ne pas être tués dans les bombardements.
Le régime militaire du général Abdourahamane Tiani a mis fin à deux missions de sécurité de l’Union européenne, le jour de la visite d’une délégation russe à Niamey.
Selon l’état-major, les forces armées maliennes auraient « infligé une sanglante défaite » à « plusieurs dizaines de terroristes » dans quatre villes du Nord, notamment à Ménaka, encerclée par l’EIGS.
Les soldats israéliens sont engagés dans une offensive terrestre depuis le 27 octobre dans le nord de Gaza, ciblant les « bastions du Hamas ». Depuis l’expiration de la trêve, l’armée s’était principalement concentrée sur des raids aériens.
Le président bissau-guinéen a dénoncé samedi 2 décembre une « tentative de coup d’État » qui aura « de lourdes conséquences » après des affrontements entre l’armée et des éléments des forces de sécurité qui ont fait au moins deux morts.
La force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC-RF), dont Kinshasa, qui la juge inefficace, a décidé de ne pas renouveler le mandat, a commencé dimanche matin à quitter la RDC.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a condamné « toutes les tentatives visant à perturber l’ordre constitutionnel » en Guinée-Bissau, où la situation était calme samedi matin.
En vigueur depuis ce 24 novembre au matin, cette première pause humanitaire doit être suivi dans l’après-midi de la libération de treize otages israéliens.
À l’heure où Israël poursuit ses bombardements sur Gaza dévasté, les négociations avec le Hamas pour obtenir la libération des otages capturés lors de l’attaque du 7 octobre se poursuivent. Les détails doivent être annoncés prochainement.
Jusqu’ici épargné par les attaques terroristes, le chef de l’État ghanéen sait pourtant que la menace est plus que jamais présente dans son pays. Voici ceux qui l’aident à protéger ses frontières.