Grièvement blessée dans l’attentat de Ouagadougou, Leïla Alaoui, 33 ans, a succombé à ses blessures lundi, laissant derrière elle une oeuvre photographique engagée sur les thèmes de la diversité culturelle et de la migration.
Quatorze manifestants réclamant des emplois ont été légèrement blessés à Kasserine, dans le centre-ouest de la Tunisie, ce mardi. Un couvre-feu a été décrété.
Le Premier ministre français, Manuel Valls, a annoncé mardi 19 janvier que trois assaillants présumés de l’attentat à Ouagadougou étaient « encore recherchés ». Selon lui, l’attentat de Ouagadougou aurait été mené par « six » personnes, dont trois ont été tuées, a-t-il indiqué à l’Assemblée.
Les employés du Cappuccino, l’un des deux établissements pris pour cible par les auteurs de l’attaque terroriste de Ouagadougou vendredi dernier, restent traumatisés par ce qu’ils ont vécu. Témoignages.
Le bilan de l’attaque, le 15 janvier, d’une base militaire kényane du sud de la Somalie, restait inconnu mardi, au lendemain du rapatriement à Nairobi des quatre premiers corps de soldats tués. Toutefois, les Shebab, habitués à exagérer les pertes, ont fait état de plus de cent soldats abattus.
Jalal Attar, un Belgo-Marocain proche des membres du commando terroriste ayant perpétré les attentats de Paris, a été arrêté au Maroc. Selon le parquet belge, il y résidait depuis 2013 et faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis juillet 2015.
Quatre jours après l’attaque terroriste qui a frappé un restaurant et un hôtel dans le centre de la capitale burkinabè, le mode opératoire des jihadistes se précise.
Alors que l’enquête se poursuit, le bilan de l’attentat commis dans la nuit du 15 au 16 janvier s’élève à 30 morts après le décès de la photographe franco-marocaine Leïla Alaoui.
Un ressortissant belge d’origine marocaine qui serait en lien direct avec les auteurs des attentats de Paris du 13 novembre, a été arrêté vendredi dernier à Mohammedia, ont indiqué les autorités marocaines, par communiqué. Il sera déféré devant la justice du pays, sitôt l’enquête achevée.
Le président burkinabè et son homologue béninois se sont rendus lundi devant le restaurant et l’hôtel attaqués vendredi soir par des jihadistes dans le centre de Ouagadougou.
Renseignements mal exploités, problèmes de coordination, équipement insuffisant… Deux jours après l’attaque terroriste inédite à Ouagadougou, certaines sources sécuritaires n’hésitent pas à parler de « gros cafouillage » pour décrire la réaction des forces de sécurité burkinabè, en pleine phase de reconstruction depuis la chute de l’ex-président, Blaise Compaoré.
Deux jours après l’attaque menée par un commando d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui a fait 29 morts dans le centre-ville de la capitale burkinabè, le groupe terroriste a publié la photo de trois assaillants. À Ouagadougou, l’enquête se poursuit.
Moussa, policier, a participé à l’assaut contre le commando jihadiste qui a attaqué un restaurant et un hôtel de Ouagadougou vendredi soir. Blessé par des tirs des assaillants, il a été évacué samedi au petit matin.
Selon des sources concordantes, au moins quatre personnes ont été tuées lundi matin dans un attentat-suicide contre une mosquée dans l’extrême-nord du Cameroun.
Quatorze ou quinze étrangers figurent parmi les 29 victimes de l’attaque jihadiste de Ouagadougou, selon les bilans donnés dimanche par un ministre burkinabè et le procureur du Faso. Sept corps restent non-identifiés.
Deux jours après l’attaque d’un commando d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) contre un restaurant et un hôtel du centre de la capitale burkinabè, le scénario de cet attentat inédit et meurtrier se précise.
Le Premier ministre malien, Modibo Keïta, a affirmé dimanche que Bamako et Ouagadougou devaient « mutualiser » leurs efforts contre le terrorisme, après les attaques qui ont fait 29 morts dans la capitale burkinabè.
Dans la nuit de vendredi à samedi, plusieurs terroristes ont attaqué un café et un hôtel du centre de Ouagadougou, faisant 29 morts et une trentaine de blessés. Cette première attaque jihadiste dans la capitale burkinabè a été revendiquée par Aqmi.
L’ONU hausse le ton. Les Nations unies ont dénoncé vendredi 15 janvier l’existence de massacres ethniques, des charniers et des viols collectifs commis par les forces de sécurité au Burundi.
Les islamistes somaliens shebab ont pris d’assaut vendredi 15 janvier un camp du sud de la Somalie hébergeant des militaires kényans de l’Amisom, la Force de l’Union africaine (UA) en Somalie, et des soldats somaliens. Selon les premières informations, des morts sont à déplorer.
Plus d’un an et demi après l’enlèvement de leurs filles, les parents des lycéennes enlevées par Boko Haram en avril 2014 continuent leur mobilisation. Ils ont à nouveau réclamé leur libération jeudi 14 janvier lors d’une rencontre avec Muhammadu Buhari, qui a demandé plus de temps pour les retrouver.
Pour désamorcer le blocage dans la mise en œuvre de l’accord de paix au Mali, Alger convoque les différentes parties à une réunion d’urgence de haut niveau les 18 et 19 janvier.
Le parquet militaire a requis jeudi deux ans de prison ferme contre le général Nouhou Thiam, ancien chef d’état-major général des armées sous la transition (décembre 2008 – décembre 2010) et cinq autres prévenus, lors de leur procès à Conakry.
L’ONG de défense des droits de l’homme s’inquiète d’un « retour en arrière » en Tunisie, pays frappé à trois reprises en 2015 par des attentats terroristes.
Alors que l’ONU a annoncé le 8 janvier qu’elle ne reconduirait pas le contingent de FARDC présent au sein de la Minusca, en Centrafrique, la question de son remplacement par des soldats d’une autre nationalité se pose avec acuité.
L’enquête se poursuit après un attentat-suicide dans le cœur touristique d’Istanbul attribué au groupe État islamique (EI). Dix Allemands sont morts, a indiqué mercredi le ministère allemand des affaires étrangères sans préciser si le bilan total de dix morts était revu ou non à la hausse.
Dans une note confidentielle adressée le 6 janvier au Conseil de sécurité, Hervé Ladsous, chef des opérations de maintien de la paix des Nations unies, n’écarte pas l’hypothèse d’un génocide à venir au Burundi et estime que des Casques bleus devraient être envoyés sur place. Partagez-vous cet avis ?
Les chiffres font froid dans le dos. D’après Amnesty International et le bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU, plus de 3500 civils ont été tués en 2015 au Cameroun, au Nigeria, au Tchad et au Niger par Boko Haram.