Abdelhamid Abaaoud, les frères Abdeslam, Tarik Chadlioui, Bilal Hadfi … Au lendemain des attentats parisiens du 13 novembre, l’existence d’une filière belgo-marocaine émerge.
Le ministère tunisien de l’Intérieur a révélé jeudi l’identité du kamikaze qui s’est fait exploser le 24 novembre dans le bus de la garde présidentielle à Tunis. Son nom : Houssam Ben Hedi Ben Miled Abdelli, un « vendeur ambulant » de Douar Hicher, près de Tunis.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Noumouké Sidibé a survécu et a sauvé plusieurs vies.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Mohamed Amine Ibnolmobarak.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Ludovic Boumbas.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi, eux Hyacinthe Koma.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Halima Ben Khalifa Saadi Ndiaye.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Asta Diakité.
Des autorités locales ont indiqué jeudi que 18 villageois avaient été tués et 11 autres blessés la veille au soir par des membres du groupe terroriste Boko Haram dans le sud-est du Niger.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé jeudi 26 novembre le démantèlement d’une « cellule terroriste » dont les membres sont liés au groupe extrémiste sunnite État islamique et planifiaient des attentats.
À la suite d’un entretien avec François Hollande, Matteo Renzi a apporté jeudi 26 novembre son soutien à la France et à son offensive diplomatique et militaire contre l’État Islamique, en insistant sur l’urgence de stabiliser la Libye.
L’administrateur général (numéro 2) de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Malien Adama Ouane, était à l’hôtel Radisson Blu de Bamako lors de l’attaque terroriste du 20 novembre. Il raconte ses longues heures d’attente et appelle ses compatriotes au sursaut.
Alors que la sécurité des chefs d’État africains vire à l’obsession, les agents chargés de la garantir sont moins nombreux mais mieux formés et mieux équipés. Enquête sur ces hommes qui suivent nos présidents comme leur ombre.
Alors que la sécurité des chefs d’État africains vire à l’obsession, les agents chargés de la garantir sont moins nombreux mais mieux formés et mieux équipés. Enquête sur ces hommes qui suivent nos présidents comme leur ombre.
« Ne jamais pardonner à ceux qui ont fait ça », et ne pas céder à la peur des jihadistes. À Bamako, une foule a rendu un dernier hommage, en présence du président Ibrahim Boubacar Keïta, aux cinq employés maliens tués dans l’attaque contre l’hôtel Radisson Blu.
Au lendemain de l’attentat qui a fait au moins 13 morts à Tunis, les autorités tunisiennes ont annoncé mercredi la fermeture pendant 15 jours de la frontière terrestre du pays avec la Libye.
Noureddine Faraji, ingénieur chez Nokia Maroc, est l’un des quatre rescapés marocains de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako, le 20 novembre. Voici le récit, heure par heure, de cette matinée où la mort a bien failli frappé à sa porte.
Paris a tardé à communiquer à ce sujet, mais on sait désormais que les services antiterroristes et de renseignements marocains (DGST, BCIJ) ont beaucoup aidé leurs homologues français entre le 13 et le 18 novembre.
Sur son compte Facebook, le ministère tunisien de l’Intérieur a indiqué mercredi que le terroriste présumé qui a fait sauter la veille le bus de la garde présidentielle a utilisé « 10 kilogrammes d’explosifs ».
Les rapports quotidiens faisant état de cadavres jetés dans les rues et la rhétorique dangereuse employée par le gouvernement qui évoque les images de précédents massacres commis au Burundi ont attiré l’attention du monde sur la menace très réelle de violences collectives dans le pays.
Une treizième dépouille a été retrouvée sur les lieux de l’attentat perpétré mardi contre un bus de la sécurité présidentielle à Tunis. Il pourrait s’agir de celle de l’auteur de l’attaque terroriste.
Les réactions ont été nombreuses mardi soir et mercredi matin après que Tunis a été à nouveau frappée par un attentat, contre un bus de la garde présidentielle, qui a fait au moins douze morts.
Un membre du personnel civil de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a été tué mardi par une explosion au passage d’un convoi des Nations unies dans la région de Tombouctou.
Depuis les attentats du 13 novembre, on ne reconnaît plus François Hollande. Il s’est réconcilié avec les Russes, bombarde la Syrie en leur compagnie et entreprend d’assainir les banlieues gangrenées par l’islamisme radical. Mieux vaut tard que jamais !
Le bilan de l’attaque suicide perpétrée mardi par le groupe terroriste État islamique dans un hôtel de la péninsule du Sinaï en Égypte s’est alourdi à sept morts, dont deux juges et quatre policiers, a annoncé le ministère de la Santé mercredi.
Le président tunisien Béji Caid Essebssi a décrété l’état d’urgence dans le pays suite à l’attentat sanglant qui a frappé ce mardi le cœur de Tunis, faisant au moins 12 morts et près de 20 blessés.
Muhammad Abu Abdalla, bras droit de feu Ahmed Abdi «Godane », « émir » suprême des Shebab tué en septembre 2014, a menacé mardi d’« égorger » les membres du mouvement qui seront tentés de s’allier avec l’État islamique (EI).