Ostracisée, sanctionnée, accusée de nourrir des ambitions hégémoniques, la République islamique s’est résolue à mettre de l’eau dans son thé pour assurer sa sécurité et retrouver sa place dans le concert des nations. Un objectif en passe d’être atteint à la faveur de l’accord-cadre de Lausanne sur le nucléaire.
Au moins six personnes ont été assassinées dans le territoire de Beni, une région de l’est de la République démocratique du Congo où une série de massacres a fait plus de 300 morts depuis octobre, a-t-on appris samedi de source officielle.
Les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, pan indissociable de l’Histoire coloniale, soulèvent aujourd’hui de nombreuses réactions au sein du milieu politique français, après de longues années d’;indifférence.
L’avenir du Katanga est flou, et le chef de l’État a besoin d’hommes sur qui compter. Ce n’est donc pas un hasard s’il a nommé le général Philémon Yav à la tête de l’armée à Lubumbashi.
Tout comme ses prédécesseurs sous la Ve République, le président français a recours aux éliminations ciblées dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. Sans états d’âme. Une facette peu connue de sa personnalité que révèle le journaliste Vincent Nouzille dans sa dernière enquête.
Utiliser le mot « chaos » pour décrire la situation libyenne est un raccourci fréquemment emprunté à propos d’un pays qui n’en est pas vraiment un, qui n’en a jamais vraiment été un depuis sa création en 1951.
Les commandos d’égorgeurs jihadistes qui ont fondu sur ce gros village frontalier de l’Extrême-Nord du Cameroun, le 17 avril peu après minuit, avaient un double objectif.
La Tunisie a assuré dimanche avoir pris toutes les précautions pour assurer la sécurité du pèlerinage juif de la Ghriba la semaine prochaine, répondant ainsi à Israël qui a fait état de menaces « concrètes » d’attentat pendant le déroulement de cette cérémonie.
Plusieurs milliers de personnes ont participé samedi à Bamako à un meeting pour la paix dans le nord du Mali, quelques heures après une marche pour soutenir la « libération » de Ménaka (nord-est), reprise le 27 avril aux rebelles par un groupe armé progouvernemental.
Plusieurs centaines de personnes ont marché samedi à Bamako pour soutenir la libération de Ménaka, ville du nord-est du Mali reprise le 27 avril à la rébellion par un groupe armé progouvernemental.
L’armée nigériane a libéré près de 700 otages en moins d’une semaine dans la forêt de Sambisa, repaire de Boko Haram dans le nord-est du pays. Malgré ces nombreuses libérations, l’incertitude demeure sur le sort des lycéennes de Chibok enlevées l’an dernier.
Trois personnes, dont deux policiers, ont été tuées vendredi soir dans deux attaques dans des quartiers de Bujumbura, au Burundi. La ville est agitée depuis dimanche par un mouvement contestant la candidature à un 3e mandat du président Pierre Nkurunziza en juin.
Le ministre congolais de la Justice a annoncé jeudi une nouvelle vague d’amnistie en RDC. Parmi les bénéficiaires : plus de 350 ex-rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23), réfugiés en Ouganda et au Rwanda après leur défaite militaire fin 2013.
Les archives de Jacques Foccart, le premier « Monsieur Afrique » de la Ve République livrent leurs secrets. Entretien avec le chercheur qui a la charge de ce fonds d’une richesse exceptionnelle.
L’armée nigériane a annoncé jeudi avoir libéré 160 otages déténus dans le fief des islamistes de Boko Haram. Il y a deux jours, près de 300 filles et femmes ont été délivrées des griffes de la nébuleuse terroriste.
Où va l’ex-Jamahiriya ? Les négociations en cours entre factions rivales peuvent-elles faire taire les armes ? Ou faudra-t-il une intervention internationale pour limiter les dégâts, à défaut de rétablir l’ordre ? Le jihadisme, déjà implanté à Derna, peut-il étendre son emprise ? Les questions sur l’avenir du pays se bousculent, mais les scénarios crédibles sont limités.
Des sources concordantes ont annoncé mercredi la mort de deux membres de la garde nationale malienne et d’un enfant à la suite d’une attaque perpétrée par des hommes armés à Goundam, dans le nord du pays.
Dans un communiqué publié mardi, l’armée nigériane a annoncé avoir libéré 200 filles et 93 femmes dans un fief du groupe islamiste Boko Haram dans le nord-est du pays, sans confirmer si certaines d’entre elles faisaient partie des jeunes filles enlevées à Chibok.
Le Gatia a repris lundi la ville de Ménaka aux rebelles du MNLA qui la contrôlaient depuis près d’un an. Joint par téléphone, Fahad Ag Almahmoud, le secrétaire général de cette milice touarègue proche du gouvernement, affirme que cette offensive s’est produite « de façon spontanée » et qu’elle ne remet pas en cause le fragile processus de paix malien.
Selon des sources concordantes, un raid aérien de la coalition arabe a visé mardi une base militaire à Sanaa. Au même moment 64 personnes, dont des civils, ont été tuées dans de nouveaux combats entre rebelles chiites et leurs adversaires sunnites.
Quelques heures après l’instauration de l’état d’urgence à Baltimore par le gouverneur du Maryland, Lary Hogan, la maire a décrété lundi soir un « couvre-feu général » dans la ville, théâtre d’émeutes après la mort suspecte d’un jeune Noir détenu par la police.
Le Groupe autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia) – proche du pouvoir malien – a pris lundi le contrôle de Ménaka, dans le nord du Mali, selon l’AFP. Une localité jusqu’ici partiellement entre les mains de la rébellion.
En visite privée à Paris la semaine du 20 avril, après avoir participé aux assemblées du FMI à Washington, le président guinéen n’a pas perdu son temps.
Des membres présumés de Boko Haram ont abattu 21 déplacés qui tentaient de regagner leur village, dans le nord-est du Nigeria, pour tenter d’y chercher à manger.
Le président ivoirien Alassane Ouattara demandera, au lendemain de la présidentielle d’octobre prochain, la levée totale de l’embargo de l’ONU sur les armes que subit son pays depuis 2004, a-t-on appris vendredi de source officielle.
Des membres présumés du groupe islamiste Boko Haram ont chassé l’armée et repris le contrôle d’une localité des rives du lac Tchad, dans le nord-est du Nigeria, ont raconté vendredi un responsable local et des témoins.
Deux Congolais et un Zimbabwéen, membres de l’unité de la Monusco chargée du déminage et de la neutralisation des munitions non explosées, ont été enlevés jeudi au Nord-Kivu.
Les autorités du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC, ont confirmé jeudi l’ »infiltration » depuis dimanche de troupes rwandaises sur le territoire congolais. Mais il ne s’agirait que de « rumeurs », selon Kigali.