À en croire le ministère tunisien de l’Intérieur, un gendarme a été enlevé et décapité dimanche soir dans la région du Kef par des « terroristes ». Dans la foulée, les autorités ont lancé une opération de ratissage pour traquer les assaillants.
Le pape François a condamné dimanche comme « un péché extrêmement grave contre Dieu » l’attentat « insensé et inhumain » commis contre la mosquée de Kano au nord du Nigeria, attribué au groupe islamiste armé Boko Haram.
Un adjudant français des forces spéciales est mort samedi au Burkina Faso dans un accident d’hélicoptère survenu lors d’un vol d’entraînement, a annoncé dimanche le ministère de la Défense.
L’émir de Kano a assuré samedi dans sa mosquée du nord du Nigeria que les musulmans ne se laisseraient jamais « impressionner », au lendemain d’un double attentat-suicide dans l’enceinte du lieu de culte qui a fait au moins 120 morts.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a condamné samedi le terrible attentat de Kano qui a fait plus de 120 morts la veille devant la grande mosquée de la principale ville du nord du Nigeria, promettant de « remuer ciel et terre » contre les coupables.
Trois bombes ont explosé vendredi dans l’enceinte de la grande mosquée de Kano, dans le nord du Nigeria. Au moins 64 personnes ont été tuées et 126 blessées.
Pierre Nkurunziza a signé vendredi une série de décrets relatifs à la « réorganisation des services de la présidence ». Parmi les têtes qui ont volé, on note celle de son influent directeur de cabinet, le général Alain-Guillaume Bunyoni.
Après plusieurs mois de tergiversations, les premiers combattants FDLR ayant déposé les armes sont arrivés jeudi à Kisangani. Au total, 217 personnes, ex-combattants, leurs femmes et enfants, ont rejoint le camp de cantonnement.
Les rebelles du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC) ont finalement obtenu la libération de leur chef, Abdoulaye Miskine, en échange de celle, effectuée la veille, du prêtre polonais Mateusz Dziedzic et de 26 otages, dont 15 camerounais, qui étaient déténus dans l’ouest de la Centrafrique.
Des tenues de l’armée congolaise ont été retrouvées mercredi dans un fourgon de la Monusco à l’aéroport de Goma, selon plusieurs témoins sur place. Une affaire bien embarrassante pour la mission onusienne en RDC…
Dans un communiqué publié mercredi, la présidence camerounaise a confirmé la libération d’au moins 16 otages dont un missionnaire polonais, enlevés ces deux derniers mois par des rebelles centrafricains dans la zone frontalière entre le Cameroun et la Centrafrique.
Le ministre algérien de la Justice a annoncé mercredi qu’un des assassins d’Hervé Gourdel avait été tué dans une opération de l’armée. Le touriste français avait été enlevé puis décapité fin septembre par Jund al-Khilafa, un groupe jihadiste ayant fait allégeance à l’État islamique.
Dans un rapport, douze députés congolais, de retour de cinq jours de mission à Beni, territoire endeuillé par une série de massacres depuis début octobre, fustigent les défaillances de l’armée et réclament l’ouverture d’une enquête parlementaire.
Des centaines de manifestants kényans ont occupé mardi l’avenue Harambee, à Nairobi, où se trouve le principal complexe gouvernemental. Une mobilisation relayée sur les réseaux sociaux pour demander plus de sécurité aux autorités.
Une voiture de l’escorte du ministre malien du Développement rural a sauté mardi sur une mine dans le nord du pays. Deux militaires ont été tués et cinq autres grièvement blessés, selon des sources concordantes.
À en croire des services de secours sur place, au moins 10 personnes ont été tuées et 15 autres coincées sous les décombres après l’effondrement mardi d’un immeuble au Caire.
En décidant d’invalider le Parlement de Tobrouk, pourtant élu et reconnu par la communauté internationale, la Cour suprême a ajouté à la confusion ambiante. Et semé le trouble.
Un nouveau massacre près de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a fait une centaine de morts, selon des députés de la région. L’identité des responsables de la tuerie est pour le moment inconnue.
L’administration Obama n’a pas failli dans sa réponse à l’attaque du complexe américain de Benghazi, en Libye, qui avait fait quatre morts le 11 septembre 2012, a conclu une commission parlementaire dont le rapport a été publié vendredi.
Le chef rebelle congolais Cobra Matata s’est rendu vendredi soir aux autorités congolaises à Bunia, dans le nord-est de la République démocratique du Congo, où il a semé la désolation pendant des années pour le contrôle notamment de ressources naturelles, a-t-on appris de source officielle.
Des femmes et des enfants font partie des victimes de l’explosion d’une roquette, mardi, sur une maison située près de la ville égyptienne de Rafah, dans le Sinaï.
Un individu, porteur d’armes et d’explosifs, a été lynché à mort mardi par une foule en colère à Gombe. Cette ville du nord-est du Nigeria avait été endeuillée par un attentat à la bombe le 31 octobre.
Des centaines de militaires réclamant un avancement sur salaire et de meilleures soldes ont manifesté mardi dans plusieurs villes de Côte d’Ivoire, dont Abidjan et Bouaké. Après une série de mesures annoncées par le ministre de la Défense, un calme relatif semblait de retour mercredi matin dans les casernes.
Enquêtant sur une allégation de viol collectif impliquant l’armée, la Mission de la paix conjointe de l’ONU et de l’UA (Minuad) s’est vue refuser dimanche l’accès à Tabit, un village du Darfour, où quelque 200 femmes et filles auraient été violées fin octobre.
La police kényane a effectué lundi une descente musclée dans des mosquées de Mombasa soupçonnées d’abriter des sympathisants des Shebab somaliens. Une personne a été tuée et plus de 250 autres arrêtées.
Selon des sources militaires libyennes, des combats ont opposé, dimanche, des milices islamistes aux partisans du général Khalifa Haftar, à Tripoli. Le premier bilan fait état d’au moins quatre personnes tuées.
Un attentat commis à l’aide d’une bombe fixée à une voiture a fait deux blessés graves dimanche dans le centre de la capitale somalienne, Mogadiscio, a déclaré la police.
La ville de Chibok, dans le nord-est du Nigeria, a été reprise ce week-end par l’armée et des miliciens locaux, deux jours après être tombée aux mains du groupe islamiste Boko Haram qui y avait enlevé des centaines de lycéennes en avril.