Le groupe ultra-radical Etat islamique (EI) a revendiqué l’exécution par décapitation de l’otage américain Peter Kassig, enlevé en Syrie, et d’au moins 18 soldats syriens, dans une vidéo mise en ligne dimanche sur des sites jihadistes.
Au moins 356 personnes ont péri à Benghazi depuis le lancement il y a un mois d’une nouvelle offensive du général Haftar pour tenter de reprendre cette ville de l’Est libyen tombée en juillet aux mains de milices islamistes, rapportent des sources médicales.
Plusieurs dizaines de combattants de l’ex-Séléka cantonnés à Bangui manifestent jeudi. Ils refusent de quitter la capitale centrafricaine et dénoncent leurs conditions de vie.
Au moins dix personnes ont été tuées mercredi lors d’une explosion dans un centre de formation d’enseignants du nord-ouest du Nigeria. Selon une étudiante qui a survécu, deux femmes kamikazes seraient à l’origine de cet attentat.
La police de la force de l’ONU en Centrafrique (Minusca) a accentué ces derniers jours ses patrouilles armées dans Bangui pour dissuader miliciens, criminels et pillards de continuer de s’en prendre à une population qui aspire à la paix.
Deux médecins ukrainiens enlevés en septembre en Libye ont été libérés, a annoncé samedi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Pavlo Klimkine, ajoutant que ses deux compatriotes se trouvaient désormais dans un « endroit sûr ».
Deux gardes soudanais ont été tués samedi à Khartoum par un homme qui essayait de pénétrer dans le palais présidentiel et qui a ensuite été abattu, a indiqué à l’AFP le porte-parole de la présidence.
Les experts de l’ONU sur la Centrafrique ont rendu public, le 1er novembre, leur rapport final dans lequel ils pointent notamment le rôle ambigu joué par le Tchad depuis le retrait des soldats de la Misca (la force africaine) en avril.
Dans une correspondance datant du 3 novembre, dont « Jeune Afrique » a pu se procurer la copie, les rebelles rwandais des FDLR informent Kinshasa et la Monusco de leur « disponibilité » à effectuer une visite de reconnaissance sur le site prévu pour leur cantonnement à Kisangani, dans le nord-est de la RDC.
Des sources militaires et médicales ont indiqué mercredi que plus de 30 personnes ont été tuées en trois jours dans des combats violents entre les forces pro-gouvernementales et des groupes islamistes à Benghazi, dans l’est de la Libye.
Dans un communiqué publié jeudi, Amnesty International affirme que des dizaines de civils ont été massacrés ces dernières semaines dans le centre de la Centrafrique. L’ONG appelle la force onusienne à mieux protéger la population.
Un an exactement après leur défaite militaire, les chefs rebelles du M23 réclament toujours une amnistie générale. Mais Kinshasa leur oppose un examen au cas par cas. En attendant, certains restent campés en Ouganda, d’autres au Rwanda, d’autres encore choisissent de rentrer au pays…
Lors de son point de presse hebdomadaire mercredi à Kinshasa, la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) a annoncé que deux cents personnes ont été arrêtées dans le territoire de Beni, après les massacres qui ont fait environ 120 morts en un mois.
Depuis début octobre, le territoire de Beni, dans l’est de la RDC, est la cible d’attaques répétées d’individus armés qui s’en prennent aux populations civiles. Environ 120 morts en un mois. Décryptage de la situation en quatre points.
Malgré l’interdiction des autorités de Kinshasa, deux partis d’opposition ont organisé lundi un sit-in devant la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) pour demander l’ouverture du dialogue national. La police a arrêté au moins 20 personnes, selon des témoins.
Selon des témoins, une forte explosion a retenti lundi au cours d’une cérémonie chiite à Potiskum, ville de l’État de Yobe, située dans le nord-est du Nigeria. Le premier bilan provisoire de l’attaque fait état d’au moins 15 personnes tuées.
De l’avis de plusieurs analystes, la non satisfaction des revendications du Mouvement du 23-Mars (M23) risque de motiver le déclenchement d’un nouveau conflit armé dans l’est de la RDC. D’autant que les ex-rebelles n’ont toujours pas été démobilisés…
La Mission de l’ONU en République démocratique du Congo (Monusco) va renforcer sa présence dans le territoire de Beni, théâtre d’une série de massacres qui ont fait une centaine de morts courant octobre, a annoncé samedi son chef, Martin Kobler.
Les familles des 219 jeunes filles enlevées par Boko Haram dans le nord-est du Nigeria se sont déclarées samedi « choquées » mais pas surprises de l’annonce de leur mariage forcé par le groupe islamiste.
Des échanges de tir ont opposé vendredi les forces internationales à des hommes armés qui les ont prises à partie dans un quartier nord de Bangui, selon un communiqué de la force française Sangaris.
Manuel Valls, le Premier ministre français, et Christiane Taubira, la garde des Sceaux, seraient attendus en visite officielle à Alger avant la fin de l’année.L’occasion pour les familles des moines de Thibirine de faire entendre leur voix.
Lors de son adresse à la population de Beni, Joseph Kabila a déclaré vendredi que la RDC allait vaincre les rebelles ougandais de l’ADF, soupçonnés d’être responsables de récents massacres perpétrés contre les civils dans ce territoire du Nord-Kivu.
Dans un communiqué officiel, Niamey a annoncé jeudi que neuf membres des forces de sécurité ont été tués dans plusieurs attaques simultanées dans la région de Tillabéri, proche du Mali.
La société civile locale a annoncé jeudi la découverte de neuf nouveaux corps de personnes assassinées dans plusieurs localités du territoire de Beni, portant le bilan de récents massacres à près de 100 morts.
Dans un rapport publié jeudi, Amnesty International accuse des milices et des groupes armés d’avoir commis « des violations généralisées des droits de l’Homme, y compris des crimes de guerre » dans l’ouest de la Libye.
Un sergent-chef français, membre des forces spéciales, a été tué mercredi au Mali lors d’une opération destinée à freiner la résurgence des jihadistes dans le nord du pays.
Nabil Rhaba, un Marocain résidant en France avait été interpellé le 15 octobre à l’aéroport Mohammed-V de Casablanca alors qu’il cherchait à embarquer pour Istanbul en compagnie de ses deux filles. Son épouse française a sollicité les autorités marocaines pour récupérer la garde de ses enfants.
Le 28 octobre, les groupes armés de la coordination des mouvements de l’Azawad ont annoncé la création d’un état-major commun. Objectif prétendu : sécuriser les régions du Nord sous leur contrôle.