La Coordination des mouvements de l’Azawad dénonce la « déliquescence » de l’accord d’Alger et appelle ses garants internationaux à « éviter une rupture définitive » entre ses parties.
Les autorités de cet archipel du golfe de Guinée ont annoncé fin novembre avoir déjoué un putsch. Parmi les personnes accusées d’être impliquées se trouvent des anciens de ce bataillon de l’armée sud-africaine actif sous l’apartheid.
Présenté par la justice ivoirienne comme le coordinateur de l’attaque du 13 mars 2016 qui avait fait 22 morts, le présumé terroriste malien est actuellement jugé par contumace à Abidjan.
Une enquête préliminaire de l’ONU accuse aussi la rébellion d’avoir commis viols et pillages, les 29 et 30 novembre, dans deux villages de l’est de la RDC, en représailles à des affrontements avec des groupes armés.
Les forces armées nigérianes sont accusées d’avoir mené depuis près de dix ans un programme d’avortements de masse sur des femmes rescapées des groupes jihadistes dans le nord-est du pays, selon une enquête de l’agence de presse Reuters publiée le 7 décembre, et démentie en bloc par l’armée.
L’attentat commis dans la cité balnéaire ivoirienne a constitué un tournant pour la lutte contre le terrorisme dans le pays. Le procès en cours rappelle que le risque d’attaques jihadistes est toujours très présent.
De nouvelles images de propagande font état d’importants rassemblements de combattants en divers endroits du continent. Une démonstration de force qui résonne particulièrement au Mali, où la nébuleuse gagne du terrain.
Alors que de violents affrontements ont encore opposé plusieurs groupes armés à la rébellion dans l’est du pays, le M23 a fait cette annonce le 6 décembre.
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Diomandé Vagondo, a obtenu l’accord d’Alassane Ouattara pour créer un département spécialisé dans le secourisme.
Les dirigeants de la Cedeao, réunis en sommet, ont également demandé à la junte malienne de libérer avant le 1er janvier les 46 soldats ivoiriens prisonniers depuis juillet.
Des marches ont été organisées dimanche 4 décembre par l’Église catholique pour protester contre les violences dans l’est de la RDC, où la rébellion du M23 campe sur ses positions, cinq jours après un massacre de civils dont l’accuse Kinshasa.
Environ 65% des combattants rebelles ont été « désengagés » des lignes de front dans la région du Tigré, un mois après un accord de paix signé avec le gouvernement fédéral éthiopien, a annoncé le commandant en chef des forces rebelles.
Un deuil national de trois jours a débuté samedi 3 décembre en RDC après le massacre présumé de civils dans l’est du pays. Le gouvernement évoque désormais un bilan de plus d’une centaine de morts.
Les premières audiences du procès de l’attentat de Grand-Bassam, qui avait fait 22 morts en mars 2016, ont eu lieu à Abidjan. Sur les 18 accusés, seuls 4 sont présents dans le box.
Au moins 50 personnes auraient été tuées à Kisheshe, à 70 km au nord de Goma, dans l’est du pays. Le mouvement rebelle a rejeté les accusations de l’armée congolaise.
Abou al-Hussein al-Husseini al-Qourachi succède à Abou Hassan al-Hachimi al-Qourachi, d’après un message audio du porte-parole du groupe État islamique.
Deux jours après l’attaque du camp de l’armée centrafricaine et de ses alliés russes, l’entourage de Faustin-Archange Touadéra et celui de Mahamat Idriss Déby Itno ont pour principal suspect François Bozizé. Explications.
Le procès des auteurs de l’attentat de Grand-Bassam, qui, le 13 mars 2016, avait coûté la vie à 19 personnes, s’ouvre ce 30 novembre à Abidjan. Dix-huit personnes sont inculpées.
Depuis que les positions de l’armée centrafricaine et de ses alliés russes de Wagner ont été frappées à Bossangoa le 28 novembre, la tension monte à Bangui. Le gouvernement affirme en coulisses détenir les preuves d’une offensive préparée par la CPC, qui utiliserait des bases arrière au Tchad.
D’après Bangui, l’aéronef aurait franchi les frontières du pays, au Nord, et aurait bombardé la ville de Bossangoa. L’appareil aurait pris pour cible les bases militaires centrafricaine et russe, ainsi qu’une usine de coton.
Une enquête a été ouverte par la Minusca pour déterminer les « circonstances exactes » du décès, survenu dans le sud-est du pays à la suite d’une attaque d’assaillants non-identifiés.
Après les Britanniques, les Ivoiriens ont annoncé leur retrait de la mission des Nations unies au Mali. Les conditions du maintien des autres Casques bleus est désormais en question, alors que Bamako est en conflit ouvert avec une partie de la communauté internationale.
Pour contrer la menace jihadiste, les pays de l’Initiative d’Accra veulent collaborer davantage en matière de sécurité et de renseignement. Une réunion ministérielle a eu lieu ce 17 novembre, en vue d’une rencontre la semaine prochaine.
Comme l’avait révélé Jeune Afrique en avril, un important contrat portant sur l’achat de dix hélicoptères israéliens a été finalisé fin 2021. Mais le président ivoirien Alassane Ouattara attend toujours les premières livraisons.
Depuis la reprise des combats, le 20 octobre, la ligne de front n’a cessé de se rapprocher du chef-lieu du Nord-Kivu. Alors que le dialogue avec les groupes armés doit reprendre à Nairobi dans moins d’une semaine, jusqu’où iront les rebelles ?
Le partenariat, révélé par Jeune Afrique en juin, entre les autorités ivoiriennes et l’ONG sud-africaine de conservation de la nature, s’est concrétisé. Plusieurs rangers viennent en effet d’arriver en Côte d’Ivoire.
L’armée congolaise et les rebelles du M23 continuaient de s’affronter ce vendredi dans l’est du pays, tandis que le président angolais, João Lourenço, attendu ce samedi à Kinshasa, arrivait au Rwanda pour rencontrer Paul Kagame. Et que des soldats kényans étaient dépêchés en renfort.
L’armée nigérienne a affirmé vendredi 11 novembre avoir tué quinze jihadistes présumés, lors d’une « riposte » menée avec des soldats français près du Mali, dans la zone des trois frontières, en fin de semaine dernière.