La Monusco tire la sonnette d’alarme. La mission de l’ONU en RDC estime que les expulsions de ressortissants de ce pays par le Congo-Brazzaville est à l’origine d’une grave crise humanitaire. Et exige la fin de l’opération « Mbata ya bakolo », lancée début avril.
Constitué au mois de février sous l’impulsion du président Mohamed Ould Abdelaziz, le Groupe des cinq pays du Sahel (Mauritanie, Mali, Niger, Burkina et Tchad) résolus à lutter contre le terrorisme fait des jaloux.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a demandé mercredi soir « un cessez-le-feu immédiat » après de nouveaux combats à Kidal, dont les rebelles touaregs du MNLA affirment avoir pris le contrôle.
Les rebelles touaregs du MNLA ont affirmé mercredi soir avoir pris le contrôle de la ville de Kidal après d’âpres combats contre l’armée malienne. Plusieurs soldats maliens auraient été tués et d’autres faits prisonniers.
Une centaine de soldats français basés à Abidjan sont envoyés en renfort dès mercredi soir ou jeudi dans la ville de Gao, au nord-est du Mali. Une décision prise alors que de violents combats entre l’armée malienne et les rebelles touaregs ont eu lieu.
Le Contre-amiral Hassan Abou Chnak, chef d’état-major de la marine malienne, a été légèrement blessé mercredi ainsi que son chauffeur et deux de ses gardes dans l’attaque de son convoi à Tripoli.
Les combats entre l’armée malienne et les rebelles du MNLA ont repris mercredi matin à Kidal, déjà théâtre de sanglants combats entre les deux camps le week-end dernier.
La réorganisation du dispositif militaire français au Mali et dans la bande sahélo-saharienne va être décalée de quelques semaines en raison des combats meurtriers survenus le week-end dernier à Kidal.
La réorganisation du dispositif militaire français au Mali et dans la bande sahélo-saharienne va être décalée de quelques semaines en raison des combats meurtriers survenus le week-end dernier à Kidal.
La réorganisation du dispositif militaire français au Mali et dans la bande sahélo-saharienne va être décalée de quelques semaines en raison des combats meurtriers survenus le week-end dernier à Kidal.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a exclu lundi soir toute impunité pour les auteurs des « crimes odieux » commis le week-end dernier à Kidal, où les 32 fonctionnaires retenus en otages depuis trois jours ont été libérés lundi soir.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a exclu lundi soir toute impunité pour les auteurs des « crimes odieux » commis le week-end dernier à Kidal, où les 32 fonctionnaires retenus en otages depuis trois jours ont été libérés lundi soir.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a exclu lundi soir toute impunité pour les auteurs des « crimes odieux » commis le week-end dernier à Kidal, où les 32 fonctionnaires retenus en otages depuis trois jours ont été libérés lundi soir.
En visite samedi dernier à Kidal, le Premier ministre Moussa Mara et sa délégation se sont retrouvés au coeur d’affrontements sanglants entre soldats maliens et groupes armés. Retour sur une journée meurtrière qui compromet sérieusement le dialogue entre le gouvernement et les rebelles touaregs.
En visite samedi dernier à Kidal, le Premier ministre Moussa Mara et sa délégation se sont retrouvés au coeur d’affrontements sanglants entre soldats maliens et groupes armés. Retour sur une journée meurtrière qui compromet sérieusement le dialogue entre le gouvernement et les rebelles touaregs.
En visite samedi dernier à Kidal, le Premier ministre Moussa Mara et sa délégation se sont retrouvés au coeur d’affrontements sanglants entre soldats maliens et groupes armés. Retour sur une journée meurtrière qui compromet sérieusement le dialogue entre le gouvernement et les rebelles touaregs.
Les affrontements qui ont opposé samedi l’armée malienne et des hommes armés dans la ville de Kidal (extrême nord-est) ont fait 36 morts, dont huit militaires, a annoncé dimanche le gouvernement, accusant la rébellion touareg du MNLA et « des groupes terroristes ». Environ trente autre personnes sont portées disparues, selon le gouvernorat local.
Des détenus d’une prison dans le nord-est du Brésil ont pris samedi en otage 122 personnes, a annoncé une porte-parole de l’établissement pénitentiaire.
Le chef d’une force paramilitaire en Libye s’est dit samedi déterminé à poursuivre son offensive contre des milices islamistes à Benghazi (est) mais les autorités libyennes ont affirmé que son opération était une tentative de coup d’État.
L’armée libyenne régulière a déclaré samedi une zone d’exclusion aérienne sur Benghazi (est), menaçant d’abattre tout avion militaire survolant la zone, au lendemain de raids aériens menés par une force paramilitaire contre des positions de groupes islamistes.
Au moins 24 personnes ont été tuées et près de 150 blessées dans des affrontements vendredi à Benghazi, dans l’est libyen, entre des milices islamistes et un groupe paramilitaire, au cours desquels des avions et hélicoptères de combat ont été utilisés.
Le Premier ministre du Mali, Moussa Mara, a entamé vendredi par Tombouctou une visite dans le nord du pays qui le conduira à Kidal où, selon des sources concordantes, des manifestants hostiles à son déplacement ont été dispersés par les forces internationales.
Deux attentats ont fait au moins dix morts et plus de soixante-dix blessés ce vendredi à Nairobi. La première explosion est intervenue sur un marché à proximité du centre-ville, la seconde dans un minibus non loin de la capitale.
S’il a hérité d’une situation explosive et n’est pas le seul responsable de l’échec nigérian face à l’insurrection islamiste dans le nord-est du pays, Goodluck Jonathan n’en a pas moins commis plusieurs erreurs sur le dossier Boko Haram.
Algérie, Maroc, Mauritanie, Niger, Burkina, Tchad… Pour lutter contre les jihadistes, Bamako a tout intérêt à joindre ses forces à celles de ses voisins. Las ! Cette coopération régionale est encore bien timide.