« Les visages du Nord » (2/4). En juin 2020, la première attaque dans le Nord fut considérée comme un tournant dans la lutte contre le jihadisme. Six mois plus tard, l’armée a ajusté sa riposte, mais la menace demeure insaisissable.
Confrontées à la menace des milices séparatistes, les autorités camerounaises ont renforcé leur dispositif sécuritaire dans les provinces du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Après plus d’une semaine de mobilisation, le jour de colère décrété ce mardi en Tunisie s’est soldé par une forte réponse sécuritaire. Tour d’horizon des manifestations des dernières semaines.
Surnommé « Mahfoud Polisario » en raison de son expertise sur le dossier sahraoui, il doit rétablir l’efficacité d’un service crucial dans le contexte de tensions aux frontières.
Ancien numéro deux de la Séléka, le leader du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique est un des chefs de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), dont les troupes ont attaqué Bangui le 13 janvier.
Deux semaines après en avoir pris le contrôle, les rebelles de la CPC, qui mènent depuis décembre une offensive contre le régime du président Faustin-Archange Touadéra, ont quitté la ville de Bangassou, à 750 km à l’est de la capitale Bangui, après un ultimatum de l’ONU.
Les démons des années 1990 seraient-ils de retour ? Depuis plusieurs semaines, attaques, arrestations et découvertes d’armement se multiplient, et laissent penser à une résurgence du phénomène jihadiste dans le pays.
Bintou Keïta remplace la diplomate algérienne Leïla Zerrougui, qui achèvera sa mission à la tête de la Monusco en février, après trois années passées à la tête de la mission onusienne en RDC.
La polémique enfle autour d’une frappe aérienne française sur le village de Bounti. Paris assure n’avoir tué que des jihadistes, mais des témoins affirment qu’il y a eu des victimes civiles. Ce n’est pas la première fois que les forces françaises sont ainsi soupçonnées d’avoir commis une bavure.
Depuis la réélection de Faustin-Archange Touadéra, et alors que les groupes armés continuent leur stratégie d’encerclement de Bangui, une milice pro-pouvoir a fait son apparition dans les rues de Bangui : les « requins ».
Le dernier rapport du groupe d’experts de l’ONU mentionne des opérations menées par les forces armées rwandaises et burundaises dans l’est de la RDC de la fin de 2019 à octobre 2020. Ce que Kigali et Gitega démentent.
Cent personnes ont été tuées samedi dans les attaques de deux villages de l’ouest du Niger, Tchoma Bangou et Zaroumadareye, a indiqué dimanche le maire de la commune.
Des groupes armés ont pris le contrôle dimanche de Bangassou après avoir lancé une attaque à l’aube, a indiqué le chef du bureau régional de la Minusca dans la ville, à la veille des premiers résultats de l’élection présidentielle.
Lutte contre la criminalité, soutien social et sanitaire, gouvernance sécuritaire… La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) présente son bilan d’une année 2020 marquée par un contexte sanitaire exceptionnel.
À quelques jours de la présidentielle et des législatives, la tension est montée d’un cran entre le président sortant, Faustin-Archange Touadéra, et ses adversaires. Les observateurs redoutent que les groupes armés ne parviennent à faire dérailler le processus.
Le Rwanda a envoyé des troupes en Centrafrique, a annoncé dans la nuit de dimanche à lundi le ministère rwandais de la Défense. Bangui a également annoncé le déploiement de « plusieurs centaines » de soldats russes.
Les autorités nigérianes ont annoncé jeudi la libération de la majeure partie des élèves enlevés une semaine plus tôt dans le nord-ouest du pays. Pour le chercheur Vincent Foucher, cet épisode n’en marque pas moins le retour de la faction de Boko Haram restée fidèle à Abubakar Shekau, qui était en perte de vitesse depuis 2016.
Entre 2021 et 2025, le Togo, qui vient d’adopter sa première loi de programmation militaire, va consacrer 722 milliards de F CFA au renforcement des équipements de ses forces armées. Voici, dans le détail, ce que le chef de l’État prévoit d’acquérir.
Le président sortant des États-Unis Donald Trump a ordonné le retrait de la « majorité » des troupes américaines de Somalie « d’ici début 2021 », c’est-à-dire juste avant son propre départ du pouvoir, a annoncé vendredi le Pentagone.
Abiy Ahmed a beau revendiquer la victoire dans la guerre qu’il mène depuis un mois contre le pouvoir dissident de la région du Tigré, le conflit pourrait s’enliser, avec de lourdes conséquences pour l’Éthiopie et la sous-région.
Ntabo Ntaberi, alias « Sheka », a été condamné à la prison à perpétuité par une cour militaire de Goma. Un verdict très attendu contre cet ancien chef du NDC, une milice devenue l’un des principaux groupes armés dans l’est de la RDC.
En quelques semaines, la France a annoncé avoir neutralisé plusieurs des chefs du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM). Choix stratégique ou tactique conjoncturelle ?
L’organisation Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) a nommé un de ses cadres à sa tête pour succéder à l’Algérien Abdelmalek Droukdel, tué en juin par les forces armées françaises dans le nord du Mali, rapporte samedi l’agence américaine SITE, spécialisée dans la surveillance des groupes jihadistes.
Plus de deux semaines après le début de l’offensive dans le Tigré, Abiy Ahmed assure être entré dans la dernière phase du conflit. Mais à la crainte d’un désastre humanitaire en cours s’ajoute les inquiétudes quant aux conséquences de cette guerre sur la stabilité de la Corne de l’Afrique.