Depuis la libération de centaines de jihadistes au Mali, en octobre, les autorités s’inquiètent de l’identité de certains de ces éléments, qui pourraient menacer sa sécurité.
Face à un jihadisme en mutation, les solutions ne peuvent être uniquement sécuritaires, selon Sébastien Boussois, auteur de l’ouvrage « Daech, la suite » (Édition de l’Aube), et l’islamologue Mickaël Privot.
Pour Ibrahim Yacouba, ancien ministre nigérien des Affaires étrangères, l’échec de la lutte contre le terrorisme tient à l’absence d’une stratégie claire et ferme visant à en combattre les causes.
Les forces armées royales ont installé un cordon de sécurité pour mettre un terme au blocage de la zone-tampon par une soixantaine de miliciens du Polisario.
Le conflit qui fait rage dans la région du Tigré, en Éthiopie, pourrait avoir de lourdes conséquences, à la fois pour le pays et la sous-région. Pour René Lefort, spécialiste de la Corne de l’Afrique, la crise doit beaucoup à la personnalité et au positionnement politique d’Abiy Ahmed.
Assiégé par des jihadistes présumés, le village de Farabougou, dans la région de Ségou, a été libéré le 22 octobre, selon l’armée malienne. Mais sur place, la tension demeure vive. Une situation qui met à rude épreuve les nouvelles autorités de Bamako.
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a limogé dimanche son chef de l’armée, quatre jours après le lancement d’une offensive militaire contre la région du Tigré, qui menace désormais de tourner à la guerre civile.
L’Éthiopie est désormais officiellement en « guerre » contre la région dissidente du Tigré, au nord du pays, où des opérations militaires ont été lancées mercredi, a indiqué jeudi un chef de l’armée éthiopienne.
Le cardinal Christian Tumi a été libéré ce vendredi 6 novembre. Il avait été enlevé la veille dans le Nord-Ouest par un groupe de sécessionnistes ambazoniens.
Qu’est-ce qui a pu pousser Brahim A., jeune migrant travaillant dans la récolte d’olives en Italie, à attaquer la basilique niçoise Notre-Dame-de-l’Assomption ? Jeune Afrique est allé à la rencontre de sa famille, à Sfax.
Dans cette ville du Sud-Ouest anglophone endeuillée par le meurtre de sept écoliers, le 24 octobre, le rêve d’indépendance s’est transformé en un long cauchemar.
L’option militaire choisie par Yaoundé pour ramener la paix dans les régions anglophones divise les acteurs politiques après le massacre, le 24 octobre, de huit élèves dans une école de Kumba, dans le Sud-Ouest.
Les condamnations se multiplient depuis l’annonce, le 24 octobre, de l’assassinat de huit élèves dans une école privée de Kumba, dans la région anglophone du Sud-Ouest.
Pendant la crise postélectorale, les sociétés Semlex et Gunvor ont été au cœur d’un système visant à fournir des armes au régime de Laurent Gbagbo, en violation de l’embargo des Nations unies. L’OCCRP et « Jeune Afrique » vous dévoilent les dessous de ce montage complexe.
Plus d’un millier de détenus ont fui la prison centrale de Kangbayi, à Béni, dans l’est de la RDC, après une attaque menée ce mardi qui a été revendiquée par l’organisation État islamique.
Quelques jours seulement après la libération des quatre otages en échange de quelque 200 présumés jihadistes, le Centre du Mali a été le théâtre d’une double attaque lors de laquelle douze civils et au moins autant de militaires maliens ont été tués.
Béatrice Stockly, missionnaire suisse enlevée en 2016, « aurait été tuée » par ses ravisseurs, ont indiqué les autorités suisses, sur la base de renseignements fournis par l’ex-otage française Sophie Pétronin.
Quatre ex-otages, dont Soumaïla Cissé, le chef de file de l’opposition malienne, ont été libérés après quatre jours d’incertitudes et de spéculations. « Jeune Afrique » vous dévoile en exclusivité les coulisses des négociations.
Soumaïla Cissé, le chef de l’opposition malienne enlevé en mars dernier, et Sophie Pétronin, l’humanitaire française kidnappée en 2016, ont été libérés par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) après un échange de prisonniers avec Bamako.
Le président de la RDC, Félix Tshisekedi, est arrivé lundi à Goma dans un contexte sécuritaire très tendu. Cette visite du chef de l’État intervient en amont d’une réunion prévue mercredi avec ses homologues ougandais, rwandais et burundais sur la situation sécuritaire dans l’Est.
Les critiques de Leïla Zerrougui à l’égard de la réintégration de combattants issus des groupes armés est d’autant plus surprenante que sur ce sujet, le bilan de l’ONU, dont elle est la représentante en RDC, est plus que mitigé.
L’assassinat du commandant Massoud est la dernière étape avant la mise en œuvre du plan d’attaque contre l’Amérique. Le 11 septembre, il est 17 heures à Kandahar, en Afghanistan, quand un premier avion percute la tour Nord.
Refusant de céder à la terreur imposée par les groupes armés dans l’Est, le médecin congolais est la cible de menaces. Quelques mois après leur retrait, les Casques bleus sont de retour dans sa clinique de Panzi.
L’idée de lancer des avions de ligne contre des objectifs américains obsédait depuis 1994 Khaled Cheikh Mohamed (KCM), ingénieur pakistanais qui a fait ses études aux États-Unis.
Quand le chef d’Al-Qaïda commence à évoquer une attaque d’ampleur contre l’Amérique, la décision est loin de faire l’unanimité au sein de l’organisation.
Cinquante-huit personnes ont été tuées dans deux massacres cette semaine dans la province d’Ituri, dans le nord-est de la RDC. Gilbert Kankonde, vice-Premier ministre et ministre national en charge de l’Intérieur et Sécurité, accompagné d’une délégation de haut niveau, est attendu sur place ce vendredi.