L’organisation a fermement dénoncé lundi 17 juin les « massacres » commis par cette rébellion dans les territoires de Béni et de Lubéro, dans la province du Nord-Kivu, qui ont fait 150 morts en juin.
Une attaque jihadiste meurtrière, dont le bilan exact est inconnu, a visé mardi la localité de Mansila, dans le nord-est du Burkina Faso, près du Niger, a-t-on appris dimanche 16 juin de sources locale et sécuritaire.
En pleine visite du secrétaire d’État américain, le Hamas a annoncé avoir remis au Qatar et à l’Égypte sa réponse au plan annoncé le 31 mai par le président Joe Biden. Mais Tsahal continue de bombarder sans relâche la bande de Gaza.
Après la fin des activités de la Mission de l’ONU dans la province du Sud-Kivu, la protection des habitants incombe désormais exclusivement au gouvernement congolais. Un défi qu’il devra relever en associant la population à ses projets à travers plusieurs mécanismes, dont la protection civile non armée.
Au moins 27 personnes ont été tuées et de nombreuses autres blessées après une frappe aérienne de Tsahal sur cet établissement de l’Unrwa, dans la région de Nousseirat, qui abritait, aux dires de l’armée israélienne, une base du Hamas.
Le Premier ministre israélien a affirmé qu’Israël était « prêt pour une opération très intense » à sa frontière nord, où les échanges de tirs entre l’armée et le mouvement libanais Hezbollah sont quotidiens.
Israël poursuit son offensive terrestre sur la ville du sud de la bande de Gaza, alors que Benyamin Netanyahou a écarté tout espoir de cessez-le-feu permanent.
Les autorités nigériennes veulent renforcer la sécurité d’installations électriques et des dépôts de carburant de la capitale face à la « menace » d’un groupe hostile au régime militaire.
Le suspect, détenteur de deux passeports, l’un belge, l’autre portugais, sous deux noms différents, serait « en contact permanent avec plusieurs groupes armés » rebelles, selon le procureur de la République.
Le Premier ministre israélien a qualifié de « calomnies antisémites » le fait qu’Israël soit accusé de cibler des civils ou de les affamer dans la bande de Gaza. Quant à l’offensive lancée contre la zone tampon entre le territoire palestinien et l’Égypte, elle se poursuit ce 31 mai.
Selon l’agence de presse officielle syrienne, Sana, les défenses aériennes ont intercepté des cibles israéliennes au-dessus du centre de la Syrie, mercredi 29 mai. De son côté, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a précisé qu’Israël avait visé un site militaire.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a regretté « un accident tragique » après qu’une frappe a fait, le 26 mai au soir, 45 morts et 249 blessés, selon le ministère de la Santé à Gaza, et mis le feu à des tentes occupées par des Palestiniens dans un camp de déplacés.
Les Forces démocratiques alliées ont mené en fin de semaine dernière de nouvelles attaques meurtrières contre des civils, conduisant les autorités locales à lancer un appel au gouvernement pour « rétablir la paix » dans le Nord-Kivu et en Ituri.
En 2023, près de 20 millions d’Africains ont été forcés à prendre la fuite, poussés sur les routes par les conflits et les conséquences de la crise climatique. État des lieux en cartes et infographies.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a qualifié de « décisive » la bataille de Rafah, après l’annonce d’une « intensification » des opérations militaires au sol dans cette ville du sud de la bande de Gaza.
Le Hezbollah a annoncé jeudi 16 mai la mort de deux de ses combattants dans des frappes israéliennes sur le sud du Liban, alors que le mouvement libanais a intensifié ses attaques contre des positions militaires israéliennes de l’autre côté de la frontière.
Plus de 600 000 Palestiniens ont déjà quitté la ville du sud de la bande de Gaza, selon l’ONU, alors que Tsahal poursuit ses bombardements, déterminé à en finir avec le Hamas.
Depuis plusieurs jours, Tsahal a accentué ses bombardements sur la ville située à la frontière entre l’Égypte et le territoire palestinien, dans laquelle se sont réfugiées 1,4 million de personnes.
À Niamey, des militaires russes ont commencé à s’installer sur une base aérienne où se trouvent toujours des troupes des États-Unis. Le ministre américain de la Défense et le porte-parole du Kremlin minimisent la portée de cette cohabitation.
Selon les États-Unis, Kigali serait responsable du bombardement d’un camp de réfugiés près de Goma. Une accusation rejetée en bloc par la porte-parole du gouvernement rwandais, Yolande Makolo.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste sur ferme sur ses positions, refusant d’« accepter » les demandes du Hamas, qui réclame un cessez-le-feu définitif dans le territoire palestinien assiégé par Tsahal.
L’organisation islamiste penche pour le moment vers un refus de la proposition d’accord négociée par les pays médiateurs avec Tel-Aviv qui, dans le même temps, continue de préparer son offensive sur Rafah, en dépit des protestations internationales.
Convoité pour ses ressources naturelles, le territoire de Masisi, dans l’est de la RDC, a été le théâtre d’affrontements mardi entre le M23 et les forces gouvernementales congolaises.
Une délégation du mouvement palestinien a quitté Le Caire pour Doha afin d’étudier une nouvelle offre de trêve. Celle-ci est considérée comme « extrêmement généreuse » par les États-Unis, alliés de Tel-Aviv.
Le mouvement islamiste doit valider la dernière proposition de trêve en date, élaborée par l’Égypte et amendée par Israël. Jusque-là, Tel Aviv refusait de signer un accord de cessez-le-feu permanent.
Le Hezbollah libanais et Tsahal ont encore échangé des tirs de missile à la frontière israélo-libanaise. Selon des médias israéliens, le cabinet de Benyamin Netanyahou a discuté d’un nouveau projet de trêve associée à une libération d’otages détenus par le Hamas.
Human Rights Watch affirme que les forces armées du Burkina Faso ont « exécuté au moins 223 civils », dont au moins 56 enfants, fin février dans le nord du pays.