De nombreux sélectionneurs ont critiqué le dense calendrier imposé par la Confédération africaine de football (CAF) pour les deux premières journées de qualifications pour la Coupe d’Afrique 2021, qui se déroulent jusqu’au mardi 19 novembre, dénonçant une santé des joueurs reléguée au second plan.
Le 14 novembre, Didier Drogba a multiplié les déclarations qui ne laissent plus planer le moindre doute : l’ancien capitaine des Éléphants sera bien candidat à la succession d’Augustin Sidy Diallo à la tête de la Fédération ivoirienne de football (FIF).
Situé au large de Monastir, cet archipel dont la biodiversité est aussi riche que vulnérable reste relativement préservé : seule la plus petite des deux îles est accessible aux touristes.
L’attaquant de la RDC Meschak Elia, qui évoluait au TP Mazembe, devait être « prêté » au club belge RSC Anderlecht. Mais l’opération ne s’est jamais concrétisée, et le joueur, actuellement en Suisse, est en conflit avec son ancien club, qui a porté plainte contre lui.
Le Forum de Paris sur la Paix a été l’occasion de rappeler l’importance des objectifs mondiaux de développement durable (ODD) de l’ONU, véritables armes contre les conflits. Mais au-delà des paroles, il est urgent de passer à l’action, en particulier sur le continent africain.
La contraception est de plus en plus utilisée dans les pays considérés comme les plus pauvres de la planète. Souvent décriée pour ses taux de fécondité, l’Afrique n’est pas en reste…
Le plus grand désert du monde peut devenir une planche de salut si la possibilité, bien réelle, de sa transformation est prise au sérieux. C’est la thèse que défend un livre de l’ingénieur Jean-Edouard Buchter, paru aux éditions Favre en septembre 2019.
La Confédération africaine de football (CAF) a répondu à Lagardère, qui avait fustigé la décision de l’instance de rompre le contrat qui liait les deux parties jusqu’en 2028.
Il fallait bien que cela arrive. Avec l’annonce par le gouvernement français de vingt mesures restrictives touchant les migrants et les demandeurs d’asile – qui remettent à l’ordre du jour l’idée de quotas d’immigration professionnelle et le durcissement des conditions d’accès aux soins médicaux pour les personnes sans titre de séjour –, voilà que l’immigration revient sur le devant de la scène.
Quarante-deux personnes, arrêtées dans le cadre du mouvement populaire antirégime en Algérie, doivent comparaître lundi 11 novembre à Alger, l’essentiel étant accusées d’«atteinte à l’intégrité du territoire national» pour avoir arboré un drapeau amazigh, selon des avocats.
Le collectif d’avocats saisi par Léonard She Okitundu lorsqu’il était ministre des Affaires étrangères pour tenter de faire lever les sanctions décidées par l’Union européenne à l’encontre de personnalités proches de Joseph Kabila affirment ne pas avoir été payé de ses honoraires. Et la note est élevée.
L’ancien chef de guerre congolais a été condamné jeudi à 30 ans de prison par la Cour pénale internationale. Selon son avocat, l’accusé, « en paix avec lui-même », va faire appel de la décision.
L’arbre s’appelle Jacob Zuma, 77 ans, ancien vice-président et ex-président sud-africain. Fréquentation d’hommes d’affaires douteux, détournement de fonds publics pour des besoins personnels, pots-de-vin… La liste de ses rapines est longue.
Malgré les 500 millions de dirhams investis par le royaume pour l’amélioration des urgences, ce service hospitalier souffre toujours du manque de moyens, d’équipements et de ressources. Au détriment des 6 millions de Marocains qui le fréquentent chaque année.
Après dix jours de paralysie de la quasi-totalité des tribunaux du pays, le principal syndicat des magistrats a appelé, le 5 novembre, à suspendre la grève initiée pour dénoncer « la mainmise du pouvoir exécutif sur le pouvoir judiciaire ». Malgré la fin du mouvement, le nouveau président du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) s’inquiète de la question de l’indépendance de la justice en Algérie.
Reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité le 8 juillet dernier, l’ex-chef de guerre congolais Bosco Ntaganda a été condamné à 30 ans d’emprisonnement par la Cour pénale internationale, dans un jugement prononcé ce mercredi.
Quatre membres de la garde personnelle du président de l’Assemblée nationale tchadienne ont été interpellés mercredi à N’Djamena après le meurtre d’un civil, a annoncé mercredi le procureur de la République près le tribunal de grande instance de la capitale tchadienne.
Chaque année, des milliers d’Africains fortunés s’envolent pour des séjours médicaux aux prix exorbitants. Pourtant, de Dakar à Niamey, d’autres solutions existent.
La police nigériane a annoncé mardi avoir libéré 259 personnes d’une maison de correction islamique dans le sud-ouest du Nigeria, dans le cadre d’une série de raids similaires menés à travers le pays ces dernières semaines.
En RD Congo comme dans beaucoup de pays voisins, il est de notoriété publique que le président de la République, certains ministres et nombre d’autres personnalités préfèrent se faire soigner à l’étranger. Difficile pour la population de ne pas interpréter cela comme un signe de défiance vis-à-vis du système de santé congolais. Qui, de fait, cumule les handicaps.
Modernisation de l’aéroport, fluidification du trafic routier, rénovation des palais… La capitale de Madagascar, Antananarivo, se réorganise et s’embellit pour prendre une nouvelle dimension.
Khalida Toumi, ancienne ministre de la Culture de 2002 à 2014, a été ce lundi 4 novembre mise en examen pour « dilapidation des deniers publics » et placée en détention provisoire à la prison d’El Harrach, dans la banlieue Est d’Alger. Elle s’était affichée depuis novembre dernier aux côtés des opposants au pouvoir en place.
Alors que les magistrats sont en grève depuis une semaine pour protester contre une décision du ministère de muter plusieurs milliers d’entre eux, le syndicat national de la magistrature (SNM) a appelé à la démission du ministre de la Justice Belkacem Zeghmati après la répression, dimanche, des juges à la cour d’Oran par les forces anti-émeutes.
Les révolutions de 2011 avaient été favorisées par l’émergence des réseaux sociaux. Huit ans plus tard, c’est au tour des États de mettre à profit ces nouveaux outils d’influence. Pourrir les débats, simuler l’adhésion populaire, harceler les contestataires et, pourquoi pas, susciter des tensions entre États : les « mouches » du web n’ont ni frontière physique ni limite éthique.