Alors que les secours étrangers continuent à arriver dans le pays, le décompte officiel atteint 3 800 morts, mais les sauveteurs redoutent un bilan beaucoup plus élevé.
Le 12 septembre, le match amical entre la Côte d’Ivoire et le Mali a été interrompu pour cause de pelouse inondée par la pluie. De quoi raviver les inquiétudes sur les capacités du stade Alassane-Ouattara à accueillir les principaux matchs de la CAN 2024.
Phénomène directement lié au réchauffement climatique en cours, la tempête Daniel qui a ravagé Derna a aussi vu ses conséquences amplifiées par le chaos politique dans lequel est plongé le pays depuis 2011.
Organisée en mai dernier à Ottawa, la deuxième édition du « Concours U7+ des universités » a une nouvelle fois mis en évidence les difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes du continent qui aspirent à poursuivre leurs cursus de formation en Occident. Au nombre de ces écueils persistants, l’obtention des visas.
Arrivé le 12 septembre à Marrakech, Mohammed VI est allé à la rencontre des victimes du séisme. Sur le terrain, les équipes de secours s’organisent mais on craint un refroidissement des températures et l’arrivée de la pluie.
2 300 morts, 7 000 blessés, 5 000 disparus… Le bilan du passage de la tempête Daniel dans cette ville de l’est libyen ne cesse de s’alourdir. L’aide internationale s’organise.
Très sensibles au sort de leurs compatriotes et de leurs proches vivant au pays, les Marocains résidant à l’étranger se mobilisent depuis samedi matin pour apporter toute l’aide possible.
Le tremblement de terre de ce 8 septembre, le plus puissant de l’histoire contemporaine du Maroc, a déjà causé plus de 2 000 décès selon les derniers bilans officiels. Les blessés convergent maintenant vers les hôpitaux, en particulier à Marrakech.
Alors que le bilan s’est encore alourdi pendant la nuit, dépassant les 2 000 morts, et que des répliques se font sentir, les organisations d’aide commencent à évaluer les besoins et estiment que les régions touchées devront être soutenues pendant des années.
Le tremblement de terre qui a touché la province marocaine d’Al Haouz vient le rappeler de façon dramatique : la Méditerranée, et notamment sa rive sud, est une zone de forte activité sismique.
Plus de 1 000 personnes ont été tuées et 672 blessées dans un séisme qui a dévasté le pays dans la nuit de vendredi à samedi, provoquant d’énormes dégâts à Marrakech. La secousse a été ressentie à Rabat, Casablanca, Agadir et Essaouira.
La Confédération africaine de football vient d’annuler les droits de diffusion de la Coupe d’Afrique des nations accordés au réseau qatari BeIn Media Group, dans 40 pays dont la zone Mena.
De nombreux pays africains sont gagnés par une montée des législations anti-LGBT. Une homophobie institutionnelle, qui s’appuie notamment sur l’idée que l’homosexualité a été « amenée » par les Occidentaux. Les choses ne sont pourtant pas aussi simples. Décryptage en infographies.
Le 6 septembre, le magazine mensuel France Football a publié la short-list des footballeurs qui restent en lice dans l’attribution du prochain Ballon d’or. L’Afrique y dénombre ses ressortissants.
Le président kényan a appelé la communauté internationale à alléger le fardeau de la dette des pays du continent pour qu’ils puissent financer leur transition énergétique.
Certains parents d’élèves commençaient à désespérer, mais cette fois, ça y est, la date de la rentrée a été annoncée. Ce sera le 19 septembre, dans un contexte de hausse du prix des fournitures scolaires qui angoisse déjà de nombreuses familles.
Rendez-vous clé pour le continent, le sommet de Nairobi lance une longue séquence de négociations climatiques internationales qui culmineront à la COP28 de Dubaï en novembre.
Les relations entre la Fédération tunisienne de football (FTF) et l’Espérance sportive de Tunis, d’habitude plutôt apaisées, se sont brusquement tendues en raison d’un litige financier.
Deux ans après la création, à Brazzaville, de sa start-up spécialisée dans la livraison et l’e-commerce, l’ingénieur Jonathan Yanghat développe de nouvelles applications et étend ses services à Dakar, Kinshasa et, à partir d’octobre, Libreville. Portrait.
Depuis la découverte d’un projet de 738 hectares développé par l’État sénégalais sur le littoral casamançais, des habitants réunis au sein d’un comité luttent contre ce qu’ils estiment être une aberration environnementale.
La rencontre entre les deux pays prévue le 9 septembre ne présente aucun enjeu sportif, le Sénégal étant qualifié et le Rwanda éliminé. Mais elle a déclenché de vives tensions entre les fédérations.
À moins de deux semaines de la rentrée, les établissements d’enseignement supérieur confirment une baisse notable des inscriptions d’étudiants subsahariens. Les inquiétudes nées des déclarations de Kaïs Saïed et les violences contre les migrants ont laissé des traces.
Si le problème de ces « gardiens » clandestins, parfois menaçants, voire violents, n’a rien de nouveau, la vidéo de l’agression d’un automobiliste a enflammé les réseaux sociaux ces dernières semaines. Dans les deux pays, les autorités assurent tout mettre en œuvre pour éradiquer le phénomène.
Dans l’anthologie de l’univers occulte au Maroc, il y a une part sombre et meurtrière : le mythe des enfants zouhris. Considérés comme des êtres aux dons surnaturels, ils sont traqués, kidnappés et sacrifiés par des chasseurs de trésor. Une légende rurale ? Non, la triste réalité.
Entre la montée des conservatismes et la primauté des questions du genre sur le droit, les femmes se retrouvent prises en étau entre deux formes d’invisibilité.
Créatures surnaturelles de l’ombre, transes et sacrifices, potions magiques, le Maroc est un patchwork de croyances occultes et ésotériques qui traverse toutes les classes sociales, jusqu’au Palais. Exploration d’un univers aussi sombre que fascinant.
Si l’islam condamne fermement la pratique de la sorcellerie, il reconnaît son existence et a intégré une part de magie. Au Maroc, pays multiculturel de tradition soufie, confrérique et maraboutique, cette magie semble avoir pris une ampleur inédite.