Là où les camions-bennes renoncent, ils passent sans encombres. Dans les ruelles tortueuses de la Casbah d’Alger, l’âne reste incontournable pour le ramassage des ordures.
Au Sénégal, la fin de l’année a été agitée par une polémique sur la tentative d’inhumation d’une griotte dans un village de la région de Thiès. Friction entre tradition et modernité ou provocateurs mal intentionnés ?
Grande figure de la lutte contre l’apartheid, l’archevêque sud-africain s’est éteint le 26 décembre dernier. Retour sur la vie d’un homme de paix qui n’a jamais perdu foi en la réconciliation.
Lundi 27 décembre, une cinquantaine d’opposants camerounais ont été condamnés pour « insurrection », « rébellion » ou « atteinte à la sûreté de l’État ». Mais pourquoi ces civils ont-ils été jugés par un tribunal militaire ? « Jeune Afrique » lève le voile.
À dix jours de l’ouverture de la CAN, une affaire concernant le nouveau patron de la Fecafoot fait mauvais genre. L’ex-attaquant des Lions indomptables apparaît sur la liste des gros débiteurs des finances publiques espagnoles.
Alors que se profile l’élection présidentielle française, l’instrumentalisation de l’identité nationale est de nouveau à l’ordre du jour. L’occasion de rappeler aux parents que le choix du prénom de leur enfant est un acte poétique libre, qui ne doit obéir à aucune injonction.
L’archevêque anglican sud-africain Desmond Tutu, icône de la lutte contre l’apartheid et prix Nobel de la Paix, est décédé dimanche à l’âge de 90 ans, a annoncé le président Cyril Ramaphosa.
2022 sera une année sportivement très riche, avec notamment la Coupe d’Afrique des nations au Cameroun et la Coupe du monde au Qatar. Malgré les aléas sanitaires, l’année écoulée a tout de même réservé de belles surprises et vu certains athlètes confirmer leur statut.
En cette fin décembre, les médias africains rejouent leur « marronnier » : la vie chère en période de festivités. Et cette année, le Covid-19 s’invite à la fête…
Face à la propagation du nouveau variant du Covid-19, le gouvernement marocain vient d’annoncer des mesures restrictives radicales, à quelques jours des festivités de fin d’année.
L’ancien entraîneur gabonais de football de l’équipe nationale des moins de 17 ans, accusé de pédocriminalité, a été arrêté par la police lundi 20 décembre.
Veiller à ce que l’exceptionnelle biodiversité des aires protégées du pays soit préservée : c’est la mission de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN). Mais son directeur, Olivier Mushiete, ne peut y parvenir sans la participation active des populations locales.
C’est une réussite avant tout symbolique, mais l’inscription par l’Unesco de la rumba au patrimoine culturel immatériel de l’humanité a provoqué une vague de joie sur les deux rives du fleuve Congo. Au point d’inspirer la politique nationale ?
Suspendu à Dakar en raison d’affrontements entre supporters, ce tournoi de football amateur et très populaire est l’enjeu d’intérêts politiques et occultes. Peut-il vraiment être réformé ?
Une enquête du quotidien britannique « The Guardian » révèle des accusations de viol à l’encontre de Patrick Assoumou Eyi, ex-sélectionneur de l’équipe gabonaise des moins de 17 ans. Plusieurs centaines d’enfants auraient été abusés et des personnalités de la Fédération gabonaise de football seraient impliquées.
La star franco-congolaise de la rumba a certes été relaxée des accusations d’agressions sexuelles, Koffi Olomidé n’en a pas moins été reconnu coupable de séquestration.
Ce 15 décembre, l’Unesco a inscrit le tieboudiène au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Le plat traditionnel sénégalais est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Par le savoir-faire qu’il exige, mais aussi par son histoire.
Nommé procureur adjoint à la Cour pénale internationale (CPI), ce magistrat a auparavant géré des dossiers sensibles, du Sénégal au Rwanda. Avec le départ de Fatou Bensouda, il sera le seul Africain dans l’équipe de Karim Khan.
La star de la rumba congolaise a été condamnée pour la séquestration de quatre de ses anciennes danseuses, mais relaxée des accusations d’agressions sexuelles « au bénéfice du doute », a expliqué la présidente de la 7e chambre correctionnelle de la cour d’appel de Versailles.
Il y a 23 ans, le journaliste burkinabè était assassiné. En plein milieu d’après-midi, le 13 décembre 1998, un véhicule enflammé est retrouvé sur la route nationale 6, près de Sapouy, dans le sud du Burkina Faso. Une macabre découverte qui va secouer le pays jusqu’à son sommet.
« Game changers » (7/7). Des écoles ougandaises à la tribune de la COP26, la jeune militante alerte sur les effets du dérèglement climatique en Afrique. Et n’hésite pas à demander des comptes aux dirigeants mondiaux.
La Confédération africaine de football (CAF) apporte son soutien au projet de la FIFA d’organiser la Coupe du monde tous les deux ans, ce qui pourrait changer la périodicité de la Coupe d’Afrique des nations. Pour le meilleur, ou pour le pire ?
« Game changers » 4/7. L’un est avocat au Maroc, l’autre scénariste au Sénégal. Tous deux ont, dans leur domaine, contribué à faire bouger les lignes face aux conservatismes sur la question du droit des femmes.
« Game changers » (3/7). Ils sont en première ligne sur le front de la lutte contre la corruption et bataillent pour garantir l’indépendance de la justice dans un contexte souvent difficile. Portraits de ces « justiciers » du continent.
Le sommet Nutrition for Growth se poursuit ce 8 décembre à Tokyo. Une occasion de rappeler que le combat contre la malnutrition ne se gagnera qu’avec des financements conséquents et une volonté politique sans faille.
Accusé d’avoir tenu des propos « injurieux » à l’égard de Choguel Kokalla Maïga, l’opposant a été placé sous mandat de dépôt. Un nouvel épisode dans le duel qui oppose les deux hommes depuis plus de trente ans.
« Game changers » (2/7). Édition, art contemporain, éducation… Du Sénégal au Cameroun en passant par le Maroc, portraits de ces Africains qui font briller le continent sur la scène intellectuelle et artistique mondiale.
Cinq ans après avoir décidé de retirer son hijab, cette doctorante en sociologie d’origine marocaine livre dans « Dévoilons-nous » une analyse critique du voile, tout en s’élevant contre la stigmatisation des femmes qui le portent.