Après l’annus horribilis qui a suivi son entrée triomphale à la Bourse de New York, la plateforme de e-commerce se redresse. Et envisage l’avenir avec sérénité.
La souveraineté si difficilement conquise des États africains est en danger. Mais cette fois, la nouvelle forme de colonisation porte sur le numérique.
Longtemps négligée par les investisseurs étrangers, la capitale égyptienne a pourtant bâti, sous le radar, un écosystème d’innovation capable d’ébranler l’hégémonie sud-africaine, nigériane et kényane.
Avec un fort taux de citoyens connectés, nombre de pays africains ont, face à la pandémie de Covid-19, opté pour des applications de traçage. Qui suscitent néanmoins des inquiétudes concernant les droits fondamentaux et les libertés.
Si la crise sanitaire liée au Covid-19 a imposé au royaume l’accélération de sa transformation digitale, l’absence d’une vision et d’une réglementation en matière de numérique laisse la voie ouverte à toutes sortes de dérapages.
Suppression des commissions et des frais sur les transactions… Les mesures adoptées pour répondre à la pandémie représentent un « sacrifice » de plusieurs milliards de dollars.
L’accès aux données s’avère crucial dans la lutte contre le virus, tout comme le fait de savoir si celles-ci bénéficient d’une protection efficace, selon James Claude, PDG de Global Voice Group, qui fournit des solutions informatiques aux gouvernements et autorités de régulation.
L’avocate camerounaise Julie Owono lutte contre les fake news au sein du tout nouveau conseil de surveillance de Facebook. Un travail crucial en ces temps de crises propices à la multiplication d’infox.
D’un bout à l’autre du continent, start-up, entreprises et gouvernements se mobilisent pour trouver, à l’aide de la tech, leurs propres solutions contre la pandémie. Florilège d’innovations.
Les coulisses du projet de câble 2Africa détaillés, en exclusivité, par Ibrahima Ba, chargé des investissements dans les infrastructures de réseaux pour les pays émergents chez Facebook.
Passée par la Silicon Valley, forte de deux levées de fonds records, innovante face au coronavirus… Née en janvier 2019, la start-up nigériane 54gene, qui ambitionne de devenir la plus grande banque de données génétiques du continent, a connu une ascension fulgurante.
Vice-président de l’Internet Society qui prône la démocratisation d’internet, l’Éthiopien Dawit Bekele analyse comment les inégalités d’accès à la Toile et aux services numériques peuvent entraver la lutte contre la pandémie de Covid-19.
Le géant du e-commerce dont l’activité liée au stockage des données en ligne est la plus dynamique, vient de mettre en service plusieurs data centers en Afrique du Sud. Objectif, ne pas perdre du terrain dans un secteur de plus en plus mature.
Sur le continent, universités et écoles d’ingénieurs multiplient les initiatives pour répondre à la crise sanitaire et conçoivent notamment masques et respirateurs grâce à des imprimantes 3D.
En cette période de crise sanitaire, le patronat marocain et la filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé lancent une initiative pour aider les start-up marocaines à s’internationaliser. Le partenariat vise, dans un premier temps, la zone Afrique du Nord.
Le géant américain de la tech a créé un accélérateur d’entreprises qui respecte les objectifs de développement durable de l’ONU. Dans ce cadre, deux start-up kényanes et une nigériane viennent d’intégrer son programme d’accompagnement.
La science des données et ses algorithmes, outil indispensable de lutte contre la pandémie de Covid-19 ? Spécialisée en médecine du travail et maladies professionnelles, la Marocaine Rajae Ghanimi dresse un panorama des innovations en matière d’intelligence artificielle développées à travers le monde pour lutter contre le coronavirus.
L’application de vidéoconférence Zoom comporte des « vulnérabilités critiques » qui pourraient permettre à un attaquant d’accéder à des données confidentielles et d’exécuter des commandes à distance, prévient l’Administration de la défense nationale.
Le nouveau ministre délégué chargé des start-up porte un projet de loi en faveur des jeunes pousses. Si l’épidémie de Covid-19 chamboule son calendrier, il promet de livrer un texte d’ici à la fin de cette année.
Depuis une dizaine de jours, la police de Tunis compte un renfort de poids : des robots. Pilotés à distance, ceux-ci s’assurent que les habitants respectent le confinement. Une approche inédite en Afrique, et qui repose sur une technologie 100 % tunisienne.