À travers ses différentes plateformes (Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp), le géant américain des réseaux sociaux couvre 48 pays d’Afrique subsaharienne. Sa responsable Afrique, Nunu Ntshingila, explique ses grands axes stratégiques.
Kunfabo – « être en contact » en malinké – est le nouveau smartphone qui souhaite conquérir le marché africain d’ici la fin 2019. Encore en phase de prototype, ce téléphone créé par la Guinéenne Fadima Diawara veut se différencier avec des applications 100 % africaines.
Après une introduction remarquée le 12 avril dernier à la Bourse de New York, Jumia est aujourd’hui attaquée sur sa réputation et voit le cours de son action chuter. Le champion de l’e-commerce sur le continent représente néanmoins une cible idéale.
Paul Kagame et Macky Sall ont visité ce vendredi le salon Viva Technology, à Paris. Les deux pays, aux trajectoires différentes dans ce secteur, y ont défendu leur stratégie digitale respective.
La Caisse des dépôts et de gestion (CDG), bras financier de l’État marocain, vient de lancer le nouveau programme « 212 Founders », visant à aider les start-up locales. Les bénéficiaires pourraient recevoir une enveloppe atteignant les 10 millions de dirhams.
Les présidents rwandais et sénégalais feront tous deux le déplacement à Paris cette semaine à l’occasion du salon Viva Technology, qui réunit start-up et leaders mondiaux de l’innovation.
La start-up française de VTC vient d’annoncer une levée de fonds de 34 millions d’euros, avec laquelle elle prévoit notamment de se développer en Afrique francophone, profitant l’absence d’Uber, son principal concurrent à l’international.
Après des lancements réussis au Maroc, au Kenya et en Côte d’Ivoire, la start-up espagnole spécialisée dans la livraison, créée en 2015, veut s’ouvrir au Ghana et au Nigeria d’ici la fin de l’année.
L’américain SAS, spécialiste de l’analyse et de l’interprétation de données, compte se positionner dans le secteur de l’intelligence artificielle, et consacrera une grosse partie de ses investissements – un milliard de dollars (889 millions d’euros) au cours des trois années à venir – à l’Afrique, qu’il considère comme un marché d’avenir.
L’introduction de Jumia à la bourse de New York sous l’étiquette « première start-up africaine » créée la polémique. De nombreuses voix se font entendre parmi les acteurs de l’écosystème tech, sur le continent, pour dénier à l’entreprise ce label. C’est la ligne que défend Issam Chleuh, directeur exécutif de Suguba, qui soutient le développement des start-up en Afrique francophone.
Le groupe français Orange Cyberdefense a implanté sa première filiale Africaine à Casablanca, avec laquelle elle espère rayonner sur tout le continent où entreprises et institutions peine à enrayer les actes de cybercriminalité.
Le géant américain Google a choisi le Ghana pour accueillir son premier laboratoire de recherche spécialisé sur l’intelligence artificielle, assurant vouloir répondre aux problèmes socio-économiques, politiques ou environnementaux qui se posent sur le continent.
En 2018, les jeunes pousses du continent ont levé plus de 1 milliard de dollars. Beaucoup sont prêtes à se développer hors de leurs frontières et attirent dans leur tour de table capitaux-risqueurs et multinationales.
Les fondateurs de douze jeunes pousses tunisiennes ont reçu de la part du Premier ministre les premiers labels « Startup Act », qui leur permettront notamment de bénéficier d’avantages fiscaux et d’un fonds de garantie.
Forte d’un accord stratégique conclu avec Orange en décembre 2018, la jeune pousse française YouScribe pourra proposer un accès renouvelable à sa bibliothèque numérique aux clients des filiales africaines de l’opérateur, en commençant par le Sénégal, le Cameroun et la Côte d’Ivoire.
Forte des 200 000 euros que vient de lui rapporter le prix de la Fondation du roi Baudouin, la start-up spécialisée dans la collecte et la revente des déchets plastiques de Lagos a désormais des projets d’expansion.
Réunis dans un panel spécifique à l’occasion de l’Africa CEO Forum (ACF) à Kigali, les dirigeants de Jumia, leader de l’e-commerce du continent, du géant sud-africain de la distribution Massmart, et de Ringier, pionnier du e-recrutement et de la publicité en ligne, ont défendu leur contribution et leur impact au développement à l’emploi et aux entreprises du continent.
Avec 1,16 milliard de dollars levés au profit des start-up de la tech africaine, l’année 2018 témoigne de l’intérêt exponentiel accordé par les investisseurs au continent africain, selon le troisième rapport du fonds d’investissement Partech.
Alors que les infrastructures de communication attirent de nombreux investisseurs, l’émergence de plateformes digitales locales apparaît comme un levier de croissance.
Le gouvernement rwandais figure parmi les quatre investisseurs qui ont permis à la firme américaine OneWeb, pionnière du secteur de la New Space, de lever 1,25 milliard de dollars pour lancer des mini-satellites afin de donner accès à internet sur l’ensemble du globe.
Décideurs et investisseurs africains et indiens travaillent au renforcement des échanges commerciaux à l’occasion du 14e conclave Inde-Afrique, qui se déroule actuellement à New Delhi.
La dizaine de start-up africaines présentent au Salon International de l’Agriculture de Paris est en campagne. Invitée par Digital Africa, elles misent sur le numérique pour renouveler le secteur, mais doivent encore gagner la confiance des acteurs du monde rural.
Forte de sa dernière levée de fonds à 6 millions de dollars auprès de l’Africa Finance Corporation en décembre, la société de logistique fondée au Nigeria il y a un an à peine par Obi Ozor et Ife Oyedele s’attaque à l’Afrique de l’Est et s’étend à l’Ouest.
Avec la nomination officielle d’un nouveau directeur, l’Agence de développement digital devrait concrétiser ses premiers projets cette année. Focus sur les principaux chantiers qui attendent le nouveau « Monsieur numérique » du royaume.
Alors que les transactions monétaires via la téléphonie mobile poursuivent leur expansion en Côte d’Ivoire, où elles ont atteint près de 10 milliards d’euros en 2018, la Confédération des consommateurs demandent la baisse des frais de transactions monétaires, qui ont augmenté de 7,2% en un an.
Trois ans après sa création, la start-up tunisienne, basée à Tunis, a levé plus de 2,2 millions de dinars (761 000 euros). Elle permet à ses clients d’ajuster leur offre à la concurrence sur le web.
Le capital-investisseur a finalisé la levée de son premier fonds, dédié aux jeunes pousses africaines. En parallèle, il ouvre à Nairobi son deuxième bureau sur le continent, après celui de Dakar.
Grand mal de ces dernières années, l’épidémie de désinformation semble avoir trouvé un remède : le fact-checking, ou vérification des faits. La technique, déjà répandue dans le monde, notamment en Europe ou en Amérique du Nord, fait progressivement son incursion dans le paysage cybernétique africain.
La start-up casablancaise se distingue depuis 2014 sur le marché national des VTC, avec un service haut-de-gamme qui séduit une clientèle professionnelle et des investisseurs de haute volée.