Malgré les multiples accusations de violations des droits de l’homme qui pèsent sur lui, le leader nord-coréen, Kim Jong-Un, a été désigné lundi lauréat du prix « pour la paix la justice et l’humanité » par la Fondation indonésienne Sukarno. L’annonce a suscité indignation et surtout moult railleries sur les réseaux sociaux.
Bien qu’active dans dix-sept pays africains, l’offre de la société de location de logements entre particuliers reste limitée sur le continent. Mais le groupe américain compte bien convaincre une classe moyenne africaine de plus en plus connectée.
L’Afrique compte-elle vraiment sur la toile ? À peu près autant que le seul État indien, à en croire une carte réalisée par l’Oxford Internet Institute.
Du 8 au 10 juillet, plus de 1500 chercheurs venus du monde entier se donnent rendez-vous à La Sorbonne pour parler de l’Afrique. Un temps fort qui se double d’une semaine culturelle, « Africa Acts ».
Le Challenge Développeurs AMEA Orange 2015 est ouvert aux start-ups de onze pays africains, avec comme objectif de doper l’innovation technologique. A la clé, 10 000 euros.
Six ans après son lancement aux États-Unis et après avoir conquis plusieurs villes européennes ces dernières années, Uber, la société américaine spécialisée dans la mise en relation d’utilisateurs et de chauffeurs gagne petit à petit l’Afrique. Non sans difficultés.
Facebook a annoncé l’ouverture de son premier bureau en Afrique, à Johannesburg, afin d’accompagner la croissance du site sur le continent et d’accroître ses revenus dans la région en développant une offre publicitaire adaptée.
La start-up Whaller, filiale de Bolloré, vient de lancer le campus virtuel de l’Université Félix Houphouët Boigny, en Côte d’Ivoire. Cette plateforme destinée à renforcer le lien entre étudiants et enseignants ambitionne de devenir un réseau universitaire transnational.
L’enquête sur le piratage de TV5 Monde datant du 8 avril, et d’abord attribué à l’État islamique, s’oriente désormais vers un groupe de hackers russes, selon une source judiciaire.
Quatre ans après le début des Printemps arabes, Laurent Giacobino dresse un bilan de l’évolution des médias en ligne au Maghreb et au Machrek. Interview.
Vous ne les connaissez pas. Mais vous avez pourtant peut-être déjà utilisé un de leurs produits en surfant sur le web ou en utilisant votre smartphone. Portraits de douze développeurs africains qui façonnent l’Afrique d’aujourd’hui et de demain.
Plus de quatre ans après les débuts du Printemps arabe, qui a largement contribué à asseoir Facebook au Maghreb, le réseau social y est plus que jamais incontournable.
Désormais alimentés à l’énergie solaire, les mini-grids éclairent les villages les plus reculés. Un marché dominé par de grands groupes, seuls capables de répondre à leurs défis techniques et financiers.
Dans un souci de transparence, la Commission électorale indépendante (CEI), que préside Youssouf Bakayoko, devrait, lors de l’élection présidentielle du mois d’octobre, mettre en place un système de transfert électronique des résultats vers son siège abidjanais.
Le capital-investisseur DPI a levé 725 millions de dollars pour son deuxième fonds panafricain, soit largement plus que la somme initialement visée. Et ce n’est que le début, estime sa patronne.
Orange a lancé l’appel à candidatures de l’édition 2015 du prix de l’entrepreneur social en Afrique, qui récompense chaque année des projets visant à promouvoir le développement du continent africain par les technologies de l’information et de la communication.
Lancée depuis bientôt cinq ans, l’application de messagerie internet WhatsApp a conquis les smartphones de millions d’utilisateurs dans le monde. Très utilisé en Afrique, l’outil s’installe même au cœur des stratégies de communication des hommes politiques.
Habib Essid, le Premier ministre tunisien, et Slim Chaker, son ministre des Finances, ont donné carte blanche à Adel Ben Hassine, le directeur général des douanes fraîchement nommé, pour lutter contre le fléau de la contrebande.
Le feuilleton des révélations familiales d’Emmanuel Adebayor s’est poursuivi ce dimanche avec une nouvelle publication du footballeur togolais sur sa page Facebook. Cette fois-ci, c’est Rotimi Adebayor, l’un de ses frères, qui est visé.
Des leaders et institutions du continent se déploient de plus en plus sur Twitter. Certains, comme le Rwandais Paul Kagamé, sont déjà des modèles d’interactivité pour le monde entier. Mais ce n’est pas le seul enseignement d’une étude américaine publiée fin mars, dont nous analysons ici les résultats.
Emmanuel Adebayor a réglé mardi soir ses comptes avec plusieurs membres de sa famille, sur Facebook. Un déballage 2.0 destiné à « servir de leçon » aux familles africaines, avance l’international togolais. Florilège.
Depuis mardi, plusieurs réseaux sociaux, dont WhatsApp et Twitter, ont été coupés sur les téléphones portables à Bujumbura, théâtre depuis dimanche de manifestations contre un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza.
Cinq pays traversés en cinq jours : les caméras de Réussite ont suivi quarante entrepreneurs réunis au sein du Ampion Venture Bus, un projet innovant de MyAfricanStartUp.
Everjobs a choisi le Cameroun pour lancer ses activités, le 23 avril. Opérationnel en Côte d’Ivoire, au Sénégal et en Ouganda, ce portail d’offres d’emploi développé par Africa Internet Group ambitionne d’être présent dans une quinzaine de pays africains d’ici la fin de l’année.
Traditionnellement absents ou relégués au second plan, les personnages noirs sont souvent caricaturaux : agressifs, dangereux et athlétiques. Des héros moins stéréotypés commencent néanmoins à s’inviter sur le devant de la scène.
Un communiqué audio d’Abdelmalek Droukdel, l’émir d’Aqmi, a été posté jeudi sur Twitter. Il y félicite les jihadistes d’Al-Qaïda pour leurs victoires en Syrie mais ne dit rien sur ses zones d’influence habituelles, le Maghreb et la bande sahélo-saharienne.