Engagée à ouvrir neuf sites à l’horizon 2027, la Moroccan Information Technopark Company lancera un nouveau hub à Essaouira d’ici à la fin de 2023, avant de finaliser ceux de Fès, d’Oujda et de Tiznit en 2024.
Bianlian, Karakurt, Medusa… De nombreux groupes de hackers ont revendiqué des raids contre des entreprises privées comme BGFI Bank et Bank of Africa, ou des institutions publiques à l’instar du gouvernement sénégalais. Pour quelles raisons leurs attaques se multiplient-elles à travers le continent ?
Voilà cinq ans que la société au pingouin est venue bouleverser les équilibres du mobile money en Afrique de l’Ouest. L’occasion pour sa directrice générale de faire un point sur les ambitions de la start-up aux 2 000 employés.
Il y a un an, une levée de boucliers accueillait l’instauration d’une taxe sur les transactions financières. Comment le marché du mobile money a-t-il évolué depuis ?
Déjà installée au Cameroun et en Côte d’Ivoire, la start-up primée au salon Vivatech de Paris est désormais tournée vers le Sénégal, et cible cinq autres pays au total.
Dans un pays où les transactions se font pratiquement toutes en argent liquide, l’opérateur de paiement dématérialisé veut convaincre des partenaires locaux de l’opportunité de construire un système en ligne de A à Z.
Pour accroître l’inclusion financière et réduire la circulation du cash, Bank al-Maghrib (BAM) explore les contours de création des monnaies numériques, avant de lancer son e-dirham.
Si les start-up gabonaises ne brillent pas sur la scène des levées de fonds, l’écosystème des incubateurs s’est néanmoins dynamisé ces dernières années. Comme en témoignent ces trois exemples.
Sur les réseaux sociaux, prépondérant désormais dans le commerce sénégalais, les émoticônes et les messages vocaux permettent de s’affranchir de la barrière de la langue. La plupart des produits sont importés de France, de Chine ou de Dubaï.
Traqueur dévoué des criminels d’Internet, ce spécialiste en cybersécurité a fait ses premières armes en France. Et rêve désormais de devenir l’homme qui murmure à l’oreille des décideurs du continent africain.
L’un est le dirigeant d’Axian Group, un conglomérat qui intervient dans de très nombreux domaines. L’autre est chargée de l’Afrique pour Global 500, l’un des principaux fonds de capital-risque de la Silicon Valley. Ils livrent à Jeune Afrique leur vision des grands enjeux du secteur de la tech sur le continent.
Depuis vingt ans, Strive Masiyiwa bâtit un empire du numérique qui n’a rien à envier aux géants américains ou chinois du web. Il doit désormais trouver comment monétiser les milliards de données captées par les différentes filiales de son groupe.
Plutôt que d’ouvrir dans de nouveaux pays, la plateforme panafricaine d’e-commerce table désormais sur des villes de 20 000 à 150 000 habitants. Une stratégie de rupture qui doit encore convaincre Wall Street, où la start-up est cotée.
En cours depuis le 26 mai, la cyberattaque perpétrée par un groupe de hackers bangladais peut avoir un impact concret sur le travail quotidien de l’administration.
Le Conseil marocain de la concurrence pointe du doigt le recours aux frais supplémentaires appliqués par les opérateurs. Une pratique qui illustre une certaine réticence à développer la numérisation des achats.
Infrastructures et services numériques, entreprenariat, cybersécurité… Le ministre ivoirien de l’Économie numérique détaille pour Jeune Afrique sa feuille de route et lève le voile sur ses ambitions.
Il est désormais impératif d’explorer des horizons novateurs et diversifiés pour insuffler une vitalité nouvelle aux start-up financières sur le continent, recommande Ismaël Cissé, directeur général et fondateur de Sirius Capital.
Grâce à des partenariats dans la grande distribution et les transports, la start-up d’origine américaine, par ailleurs en discussion avec des assureurs, élargit son offre. Ce qui confirme la compétition à l’œuvre avec les opérateurs télécoms et les banques.
L’organisation publique-privée imaginée par le président rwandais fête ses dix ans au Zimbabwe, dans le cadre de son événement Transform Africa Summit. L’occasion de faire le point sur ses projets, qui ne se concrétisent pas toujours.
Fintech, e-commerce, healthtech… Dans quels secteurs les start-up africaines les plus prometteuses se distinguent-elles ? Quelles sont celles qui parviennent le mieux à séduire les investisseurs ? Les résultats de notre enquête exclusive en infographies.
Fintech, logistique, e-commerce… Sur quelles jeunes pousses du continent les principaux investisseurs misent-ils ? Au terme de notre enquête sur un écosystème aussi foisonnant qu’innovant, Jeune Afrique vous dévoile les noms de vingt entreprises à suivre absolument en 2023.
Notre enquête, menée auprès d’une trentaine d’investisseurs, permet de déterminer assez précisément les caractéristiques des jeunes pousses du continent qui attirent le plus de fonds.
Secteur traditionnel des start-up africaines, le e-commerce figure en bonne place parmi nos 20 futurs champions de la tech, avec cinq représentants. Particularité de notre sélection : la majorité de ces jeunes pousses s’adresse au marché des professionnels.
Parmi nos 20 futurs champions de la tech, les start-up de la fintech se taillent la part du lion avec six représentants. Néobanque, solutions de gestion d’entreprises pour petits marchands, plateforme de transfert d’argent multicanal ou outils simplifiant le recouvrement… Voici leurs portraits.
C’est une tendance de fond depuis plusieurs années : la healthtech africaine attire de plus en plus d’investisseurs. Trois start-up du secteur figurent parmi notre sélection des 20 futurs champions de la tech. Portraits.
La surprise de notre sélection des 20 futurs champions de la tech provient du secteur des services. Considéré comme une « niche », celui-ci a su tirer son épingle du jeu avec quatre start-up innovantes pour la plupart venues du Nigeria.
Le secteur du transport et de la logistique, représenté par deux jeunes pousses dans notre sélection des 20 start-up les plus prometteuses d’Afrique, demeure l’un des plus porteurs et les plus transformateurs du continent. Présentation.
Partenaire d’un des fonds les plus dynamiques du continent, l’investisseur japonais Ryosuke Yamawaki décrit sa méthode pour repérer les futurs champions de la tech africaine.
Réunis à Abidjan, acteurs publics et privés s’activent pour sécuriser la transformation numérique face à des pirates motivés et à des attaques de plus en plus sophistiquées.