Hormis le Maroc et l’Afrique du Sud, qui restent leur destination la plus prisée, le continent peine à attirer les visiteurs internationaux. Un investissement dans les infrastructures et le secteur aérien est primordial pour gagner en attractivité.
Après le crash, le 10 mars, d’un Boeing 737 Max 8 d’Ethiopian Airlines, le directeur général de la compagnie, Tewolde GebreMariam, fait face à sa première épreuve.
Les accidents des deux Boeing 737 max 8, qui ont fait plusieurs centaines de morts en Éthiopie le 10 mars et en Indonésie en octobre, montrent des « similitudes claires », selon leurs boîtes noires. Boeing a annoncé la correction très prochaine d’un logiciel de stabilisation de ses appareils.
Les données contenues dans l’une des deux « boîtes noires » du Boeing 737 MAX 8 de la compagnie Ethiopian Airways qui s’est écrasé dimanche dernier près d’Addis-Abeba ont été téléchargées et remises aux enquêteurs éthiopiens, a annoncé le 16 mars le Bureau français d’enquêtes et d’analyse.
Après avoir dégagé des bénéfices d’environ 150 millions de dirhams en 2018, le transporteur marocain s’offre une paix sociale pour trois ans, en signant l’épilogue du bras de fer qu’il menait depuis l’été dernier avec son syndicat de pilotes.
Livré avec quelques jours de retard par Airbus, l’appareil A 330-900 a effectué le 9 mars son premier vol vers Paris. Les rotations étaient assurées, depuis leur ouverture le 1er février, par un appareil de location.
Le groupe français décide d’implanter son premier projet d’Odalys City dans la capitale camerounaise. Ce concept d’appart’hôtel sera opérationnel en 2022.
Les lignes africaines seront parmi les premières à bénéficier du programme mondial de modernisation de la compagnie française. Objectif : répondre aux critiques persistantes et séduire une clientèle d’affaires exigeante et de plus en plus courtisée…
Le ministère français des Affaires étrangères a reconnu, le 6 mars, la bonne sécurité d’une grande partie du Sahara mauritanien en faisant passer la zone de la couleur orange, « déconseillé sauf raison impérative », à la couleur jaune, « vigilance renforcée ».
Le Boeing 737 max était un des best-sellers plébiscités par les compagnies africaines ces derniers mois. Si Ethiopian et la RAM ont annoncé la suspension de l’exploitation de ces appareils, d’autres transporteurs leur ont renouvelé leur confiance.
Après le crash du Boeing 737 max de la compagnie aérienne Ethiopian Airlines qui devait rallier Nairobi depuis Addis-Abeba, 35 pays pleurent leurs morts.
Après le crash du Boeing d’Ethiopian Airlines dimanche, qui a fait 157 victimes d’au moins 35 nationalités différentes, la compagnie éthiopienne a cloué au sol ses Boeing 737 MAX 8 « jusqu’à nouvel ordre ». La Royal Air Maroc ainsi que les compagnies chinoises et indonésiennes ont pris la même décision.
L’un des quatre réacteurs d’un Airbus A380 d’Air France, qui effectuait la liaison Abidjan-Paris cette nuit avec 501 passagers, est tombé en panne, contraignant l’appareil à faire demi-tour. L’avion s’est posé sans dommage, selon la compagnie et un passager.
Le groupe français, détenteur de 25 % des parts de Doual’Air, a réussi à garder le contrôle opérationnel du spécialiste camerounais de la restauration aérienne, malgré l’opposition de la famille Nkembe, principal actionnaire de l’entreprise. Ces derniers le soupçonnent maintenant de vouloir acquérir le majorité du capital en rachetant les parts de l’État.
Le 6 mars, une grève du personnel aéroportuaire a paralysé l’aéroport international de Nairobi (JKIA). Les membres du Syndicat des travailleurs de l’aviation kényane (KAWU) protestaient contre le projet d’acquisition de l’aéroport par la compagnie nationale Kenya Airways.
Autrefois réputée, la destination Côte d’Ivoire est sortie du radar des tour-opérateurs au gré des crises vécues par le pays depuis vingt ans. Pour y remédier, le pays a élaboré un plan, baptisé Sublime Côte d’Ivoire. L’objectif : attitrer 5 millions de visiteurs internationaux à l’horizon 2025.
Suppression du visa payant, rôle d’Air Côte d’Ivoire, sécurité, coopération avec le Maroc… Le héraut des ambitions nationales ivoiriennes en matière de tourisme présente sa stratégie à Jeune Afrique.
À travers le Plan Azur, lancé en 2001, le Maroc s’était fixé comme objectif d’accueillir 10 millions de visiteurs en 2010. Dans sa « Vision 2020 », il ambitionne d’atteindre le double. L’ouverture du ciel marocain, il y a dix ans, a eu un impact majeur sur la confiance des investisseurs.
La compagnie aérienne Loftleidir Icelandic, filiale du groupe islandais Icelandair, a signé vendredi avec le gouvernement du Cap-Vert un contrat de rachat de 51% du capital de la compagnie nationale Cabo Verde Airlines (TACV), en difficultés financières depuis des années.
Les pilotes d’Air Côte d’Ivoire sont en colère, et ils l’ont fait savoir par un courrier dans lequel ils s’inquiètent de devoir « endosser la responsabilité des problèmes financiers de la compagnie ».
Depuis le sauvetage de la compagnie aérienne en 2018, l’État kényan qui détient 48,9 % de Kenya Airways réfléchit désormais à une manière de nationaliser totalement l’entreprise.
L’offensive de Mangalis, filiale de Teyliom, doit se concrétiser dans les douze mois. En finançant sur fonds propres son expansion et en visant toutes les gammes, elle tente un pari audacieux.
La direction de la compagnie grecque Aegean a annoncé la montée en puissance de son réseau international avec l’ouverture de nouvelles lignes directes depuis Athènes vers Casablanca, Tunis et Marrakech.
Le gouvernement ivoirien a annoncé cette semaine un investissement de 3 200 milliards de francs CFA d’ici à 2025 dans le secteur touristique, un effort visant à hisser le pays dans le top 5 des destinations du continent.
En investissant plus de 1,5 milliard de F CFA, le Lamantin Beach Resort & Spa de Saly a inauguré le Blue Bay, un espace écoresponsable haut de gamme, et compte développer le concept dans le pays.
La branche hôtellerie-voyage de la plateforme de e-commerce Jumia utilise désormais les services du groupe français Edenred, leader mondial des solutions de paiement entre professionnels.
Dynamisme économique, stabilité politique, attrait culturel… Dakar ne manque pas d’atouts pour disputer à Abidjan le leadership régional en matière de tourisme haut de gamme.
En grave difficulté financière, le pavillon national sud-africain est en discussion avec ses créanciers pour obtenir un report de quatre à cinq ans de l’échéance de sa dette. Un délai qui permettrait à South African Airways de se restructurer, notamment par une scission entre trois entreprises distinctes.
Après l’expulsion définitive de la représentante d’Air France au Bénin et au Togo, un conseiller de Patrice Talon a transmis fin janvier à sa demande de nouvelles consignes aux agents d’escale de la compagnie.